Le soldat Henri GOUGO de Crac’h est grièvement blessé dans le secteur du bois des Caurières (Meuse). Évacué vers l’hôpital temporaire 12 de Vadelaincourt (Meuse), il décède le 11/03/1917 des suites de ses blessures de guerre. Alors que sa dépouille n’est pas rapatriée par l’état, sa maman s’adresse à l’abbé JOURON, curé des Souhesmes par Souilly dans la Meuse pour organiser le retour du corps de son fils.
La lettre de l’abbé JOURON en retour est un document particulièrement rare et précieux. Il est complété par le courrier officiel adressé en Marie de Crac’h demandant à monsieur le maire de prévenir La famille GOUGO.
Le Courrier annonçant le décès d’Henri GOUGO