Biographie du Capitaine Maximilien MUNCH 1885 – 1916 : Un pionnier du combat aérien.

 

Le capitaine Maximilien MUNCH décède à 31 ans le 23 septembre 1916 à onze heures du matin lors d’un combat aérien. Engagé en 1904, il sert son pays pendant 12 ans et fait partie de ses pionniers du combat aérien et de l’aéronautique militaire annonciateur de la future armée de l’air (2 juillet 1934).

Né le 23 Mai 1885 à Auray, il est le fils de Joseph MÜNCH et de Valentine Eugénie CHERU. D’une famille de 3 enfants il embrasse une carrière militaire comme le fit son père avant lui et comme le fera son frère.     [biographie voir le descriptif de la famille MUNCH en fin d’article].

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Les premières années militaires

Engagé volontaire pour 3 ans à Lorient  le 23 octobre 1904 au tire de L’école Spéciale Militaire de Saint-Cyr avec le consentement de son père, il rejoint l’école le 26 octobre 1904. Appartenant à la promotion Centenaire d’AUSTERLITZ, il effectue deux ans de scolarité avec comme rang de sortie 43 sur 300. A sa sortie de Saint-Cyr, il est affecté au 66e régiment d’infanterie de Tours avec le grade de sous-lieutenant le 1er octobre  1906. Il promu Lieutenant le 1er octobre 1908.

Sa notation du 1er semestre 1911 :

Rentré de camp au mois de janvier après avoir commandé correctement la section de garde, s’est remis avec ardeur à son service de compagnie et a mérité les notes élogieuses de son capitaine et de son Chef de Bataillon. Est intelligent, observateur, énergique ; son instruction militaire est déjà très bonne…. Détaché au Régiment de réserve y a donné toute satisfaction par son zèle et son tact dans ses rapports avec le Capitaine de réserve qui commandait sa compagnie…..   A suivi le 1er cours de l’école Normale de gymnastique et d’escrime du 1er février au 20 avril inclus 1912.

Sa notation du 1er semestre 1912 témoigne de sa volonté de devenir pilote :

« Officier d’une personnalité bien accusée a l’esprit vif, le caractère bien décidé. Nature ardente, ayant de l’ambition et beaucoup d’amour-propre, demande à être officier aviateur et pourrait devoir réussir très bien dans ce service s’il est admis »

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La formation de pilote

Désigné pour recevoir l’instruction de pilote aviateur le 12 Juin 1912, il suit un stage d’instruction à Versailles en juillet et Août 1912 puis il est détaché à l’école BLERIOT à Étampes. Il est affecté au 144e régiment d’Infanterie le 24 juin 1912 et obtient le brevet de pilote civil le 22 Octobre 1912 avec le n° d’enregistrement B n°1086 de l’Aéroclub de France.

A compter du 15 novembre 1912, il suit un stage de formation à Avord et obtient son brevet de pilote militaire [n°216] le 9 janvier 1913. Il intègre la BL 18 assurant la formation des élèves pilotes.

Sa notation au premier semestre 1913 :

« Aussitôt après son brevet il rempli les fonctions de chef pilote avec beaucoup de tact et de dévouement ; excellent officier, très instruit, très bien élevé. Très bon pilote a fait les manœuvres du Sud-ouest avec l’escadrille N°3 et bien que le plus jeune de l’escadrille, s’est brillamment comporté  S’est trouvé au centre d’Avord pendant la période d’organisation a été pour le chef de centre un intelligent et dévoué collaborateur. Il a su remonter le moral des pilotes sous ses ordres, après deux accidents mortels survenus à Avord »  (Le Colonel RENAUD commandant le 3e groupe aéronautique).  Notes confirmées par le Général HIRSCHAUER inspecteur technique « Chef pilote, s’acquitte on ne peut mieux de sa mission Au camp d’Avord dans des circonstances très  dramatiques, vivant seul au CAM, après avoir eu ses deux camarades tués. A conservé fort son moral. Vient de faire les manœuvres du Sud Ouest à l’escadrille 3. S’est rendu aux manœuvres par voie aérienne : en est revenu par la Méditerranée et la vallée du Rhône ».

Le 18 juin 1914, il est affecté au centre de Pau comme chef Pilote ; l’école est dissoute le 14 août 1914 après la déclaration de guerre et le début des hostilités. il rejoint  l’escadrille BL3 dès le début de la campagne contre l’Allemagne le 24 août 1914. 

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Les premiers combats et « l’escadrille des cigognes »

L’escadrille n° 3 qui, sous le signe des « Cigognes », va devenir au cours de la Première Grande Guerre la plus célèbre des unités de l’aviation militaire française et aussi la plus ancienne, c’est l’escadrille de BROCARD et de GUYEMER qui la rejoindra fin juin 1915. L’engagement du Lieutenant MUNCH est indissociable de ceux de l’escadrille.

La déclaration de la guerre trouve la « 3 » sur le terrain de Belfort- Chaux. L’escadrille est équipée de six Blériot biplaces et porte l’appellation officielle de «Bl. 3». Son personnel pilotes comprend le lieutenant BELLENGER, qui la commande ; les lieutenants de SERRE, TRETARRE et Munch; l’adjudant BEGOU ; le maréchal des logis DURAN; le caporal Revol-Tissot.

Dès le début d’août 1914, la Bl3, mise à la disposition du général DUBAIL, commandant l’armée des Vosges, est aussitôt engagée dans les opérations de la bataille d’Alsace. Le 4 septembre. La première bataille de la Marne se déchaîne entre Paris et Verdun. La Bl3, stationnée à Epinay depuis le 28 août, s’envole pour Chaumont 5 septembre, puis du terrain de Méry-sur-Seine le 6 septembre. Elle est mise à la disposition du général Maunoury, commandant la VIe Armée. On la trouve ensuite au Plessis-Belleville, puis sur les terrains de Champagne d’où elle prend part à la première bataille de l’Aisne du 15-21 septembre et appuie les opérations des troupes entre l’Aisne et l’Oise.

Le premier combat aérien de la Bl.3 a lieu le 26 octobre, C’est le caporal Tissot et l’adjudant Bégou qui attaquent au mousqueton un avion allemand, tandis que le Lieutenant Munch repère et signale à l’artillerie plusieurs batteries ennemies en action.

Texte d’une citation obtenue par le lieutenant MUNCH :

Munch, lieutenant, pilote aviateur.  de Serre, lieutenant, pilote aviateur :   N’ont pas hésité à voler pour aller chercher un renseignement important, dans des conditions, atmosphériques qui les obligeaient à voler bas, rendant leur mission pénible et périlleuse.  En octobre il repère et signale à l’artillerie plusieurs batteries ennemies en action.

Une autre citation probablement du 05 novembre 1914  :

«Très brillant officier, pilote très hardi et des plus expérimentés. Ancien chef pilote des écoles de Pau et d’Avord. A effectué, depuis le début de la campagne, plus de soixante heures de vol au-dessus des lignes ennemies, sous un feu parfois extrêmement violent d’artillerie et d’infanterie. Le 5 novembre notamment, presque dès le début d’une reconnaissance, l’avion qu’il montait fut atteint par les fragments d’un obus ayant éclaté sous la queue de l’appareil. le stabilisateur fut gravement endommagé et une partie fut emportée par un éclat. Malgré le danger à poursuivre son vol avec d’aussi graves avariées, a continué sa reconnaissance et n’est revenu atterrir qu’après avoir achevé sa mission, donnant ainsi une preuve de ses brillantes qualités de pilote en même temps qu’un magnifique exemple de sang-froid, de courage et d’audacieuse résolution ».

Sa notation de 1914 :

«  Caractère très droit très énergique, d’une personnalité accusée. Pilote très adroit, connaissant toutes les ressources de son appareil et les utilisant à fond avec un sang froid et une bravoure extrêmes. N’hésite jamais à entreprendre les reconnaissances les plus périlleuses sur l’ennemi. » .

Le 25 décembre 1914 il est promu Capitaine.

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Le capitaine MUNCH à Tours

 

Les années de formateur et comme 1er commandant de l’école de Tours.

Le 7 Avril 1915 le Capitaine MÜNCH est affecté à la Réserve Générale de l’Aéronautique pour commander au Groupe de  division d’entraînement , la division  CAUDRON. Ce groupe reçoit les pilotes diplômés et les entraîne sur leurs avions respectifs pour les préparer aux conditions de combat. Le Capitaine MUNCH y reste cinq mois.

Sa notation de 1915

« Officier très énergique et ayant du caractère et du commandement. Caractère posé et sérieux. Excellent pilote adroit et fin. A commandé avec beaucoup de compétence la Division d’entraînement Caudron (de la Réserve générale d’Aviation) pendant cinq mois. Vient d’être désigné pour prendre le commandement de l’école d’aviation de Tours. ».

Entre le 3 août 1914 et le 11 novembre 1918, 16 876 diplômes militaires de pilote furent délivrés sous la responsabilité du colonel Girod, inspecteur général des écoles. Plusieurs milliers perdirent la vie, victimes non seulement des combats aériens mais aussi du manque de fiabilité des appareils de l’époque. Il faut former d’avantage de pilotes. Dans une note datée du 3 octobre du Général JANIN, aide-major général au sous-secrétariat d’état, adressée au commandant de la Réserve Générale d’Aviation, « Capitaine MÜNCH désigné pour commander l’école d’aviation de Tours, est mis à la disposition du Ministre –  se présentera au sous secrétariat État aviation ».

La base de Tours est créé le 05 novembre 1915, sur des terrains pris en grande partie sur la commune de Parçay-Meslay, mais aussi sur Saint-Symphorien et Sainte-Radegonde. Un document daté du 17 octobre 1915 du Sous-secrétariat d’état de l’aéronautique militaire adressé au général commandant en chef le l’aéronautique signale la création d’une École d’aviation Militaire à Tours

Le capitaine MUNCH devient le 1er commandant de l’école de pilotage de Tours. Il obtient un témoignage de satisfaction du ministre de la guerre en date du 25 juin 1916.  Sur sa demande il part aux armées. Le capitaine Jean MORTUREUX, aussi de la promotion de Saint Cyr « Centenaire d’Austerlitz », lui succède. La cérémonie de passation de commandement se déroulera le 22 Août 1916, lors d’une rare cérémonie publique, en présence du lieutenant-colonel Girod, député du Doubs, mais surtout inspecteur général des écoles. En mai 1917, arrive le troisième commandant, le capitaine Olivier Galouzeau de Villepin, au moment où débarquent les premiers aviateurs américains venus à Tours passer le brevet élémentaire de pilote.

Sa notation du 1er semestre 1916 :

« Je connais depuis peu de temps le capitaine MÜNCH. Il m’apparaît comme un excellent officier, intelligent, dévoué tout à sa fonction. A bien organisé l’École de Tours. Obtiendra j’en suis convaincu d’excellents résultats »

Le retour au combat et son décès

Affecté 144e régiment d’infanterie, 1er groupe d’aviation,  le capitaine MUNCH prend le commandement de l’escadrille C 61 le septembre 1916.  Il meurt en combat aérien le 23 septembre 1916, abattu près de Balschwiller (Haut-Rhin) sur un « Caudron G-4 »  

CAUDRON g4

Extrait du journal de marche et opérations de la 157e Division d’Infanterie

« Un avion est tombé en flamme le 23 septembre à 11H10 à 550mètres de la route de THANN. Les deux aviateurs morts et en partie carbonisé ont été transportés au poste de BOLLWILLER près de BALSCHWEILLER. Ces deux aviateurs étaient le Capitaine MÜNCH, pilote et le Sous Lieutenant Charles Marie GOURSAUD de MERLIS,  lieutenant-observateur affecté au 52e régiment d’artillerie .

Le Capitaine MÜNCH, le Sous lieutenant de MERLIS de l’escadrille C 61 et L’adjudant René DAVID de l’escadrille C 49 ont été inhumés à FONTAINE (Territoire de BELFORT). A la demande de sa famille, Le corps du Capitaine MUNCH sera rapatrié par le convoi funéraire du 22 août 1922 et inhumé à Etel dans le caveau familial.   

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Le capitaine MUNCH, au cours de ses deux années de combat,  totalisera :

  • 5 citations dont trois à l’ordre de l’armée.

Il sera décoré

  • de la légion d’honneur avec le grade de chevalier,
  • de la croix de guerre 14/18.

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Témoignages

La reconnaisse du décès

Conformément à l’Article 77 du code civil, nous nous sommes transportés auprès de la personne décédée et assurés de la réalité du décès, dressé par nous Pierre BERNARD, âgé de trente cinq ans, lieutenant pilote à l’escadrille C.61, officier de l’état Civil, sur la déclaration de TIERSONNIER Philippe, âgé de cinquante deux ans, capitaine au 99e régiment territorial d’infanterie et de LEMY Fernand, âgé de quarante cinq ans, lieutenant, commandant la deuxième compagnie de mitrailleuses du 99e Régiment Territorial d’Infanterie, témoins qui ont signé avec nous après lecture.

L’officier de l’État Civil signé BERNARD Les témoins signé TIERSONNIER et LEMY.

La Dépêche, en octobre.

« Cette douloureuse nouvelle a vivement ému les nombreux amis qu’il compte en Touraine où il a antérieurement séjourné pendant plusieurs années comme lieutenant au 66e régiment d’infanterie. « Le capitaine Münch, dont la Croix de guerre comportait trois palmes, comptait au nombre de nos meilleurs et plus anciens pilotes. Il faisait partie de l’aviation depuis 1912. « Alsacien d’origine, il eut la joie, au début des hostilités, de survoler Mulhouse et d’entendre les acclamations qui saluèrent l’entrée dans cette ville des troupes françaises. C’est dès les premiers mois de la campagne qu’il accomplit ses plus brillants exploits et c’est grâce à sa vaillance et à sa maîtrise qu’il dut d’être placé à la tête de l’école de Tours. Au-dessus de Strasbourg, son appareil reçut un obus de plein fouet et fut sur le point de s’écraser sur le sol, mais l’excellent pilote réussit à atterrir sans dommage « Il est mort en combattant à 31 ans, à l’heure où il s’apprêtait à donner sa pleine mesure. »

Cérémonie à l’école de Tours

Le vendredi 20 octobre, une cérémonie était organisée : « Une plaque a été posée au mât qui se trouve au centre de l’école et cet emplacement est maintenant désigné : place du capitaine Münch. […] M. le capitaine Mortureux, directeur de l’école, entouré des officiers du camp d’aviation, a prononcé un discours auquel a répondu le général Poline. « Pendant ce temps, une dizaine d’avions survolaient le camp d’aviation. »

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Rénovation de la tombe du Capitaine MUNCH dans le cimetière d’Etel en 2016

articles paru dans Ouest éclair

 

 

Histoire de la famille MUNCH

Le Grand Père s’appelle Antoine MUNCH (cultivateur) est né à SCHWARTZBACH (Vosges) en 1796; La Grand-Mère, Affra BRITZLER est née à MULBACH (Bas-Rhin) en1815.

*

Le père :  Joseph MÜNCH  est né le 16 juin 1851 à MUHLBACH (BAS-RHIN). Il a fait une déclaration d’option pour la nationalité française le 24 août 1872 à la mairie de Saint Dié dans les Vosges. Il entre en service le 2 septembre 1872 comme engagé volontaire pour 5 ans à la mairie d’EpinaL.  Il arrive au 116e Régiment d’Infanterie de Vannes  le 3 septembre 1872 .

  • Soldat de 1ère Classe Caporal le 5 février 1873,
  • Caporal fourrier le 6 septembre 1873, Sergent fourrier le 2 décembre 1873,
  • Sergent Major le 18 octobre 1874 et rengage le 17 mai 1878 pour 5 ans.
  • Adjudant le 1er décembre 1878, il rengagé le 19 mai 1883 pour 5 ans.

Décoré de la Médaille Militaire le 7 juillet 1885, il fait campagne en Tunisie du 6 septembre 1881 au 26 mars 1883 .

Retraité le 9 novembre 1888 comme adjudant avec 16 années de service et de campagne, il devient officier de réserve comme sous-lieutenant le 7 mai 1889 puis Lieutenant le 23 mars 1892. il démissionne pour raison de santé le 17 juin 1901 et devient receveur buraliste à Etel en 1889. Il décède le 18 juin 1911 à ETEL.

Alors Adjudant, il se marie à Auray le 21 novembre 1888  à Mademoiselle CHERU Valentine Eugénie née à AURAY le 17 janvier 1857 (couturière). Madame CHERU épouse MUNCH décède le 8 avril 1950 à ETEL.

Ils ont trois enfants :

  • Maximilien ,
  • Jeanne, née le 9 mars 1887 à Auray (morte à Etel le 3 août 1972) . Elle restera au domicile familial et gérera le commerce familial, débit de bossions et de tabacs et de  transformé par la suite en magasin de journaux.
  • Joseph, né le 11 Mai 1889 à Auray, soldat.

Ces deux premiers enfants nés avant mariage ont été reconnus lors du mariage Joseph né le 11 Mai 1889 à Auray (mort le 13 octobre 1971 à AURAY)*

Joseph MÜNCH :  Engagé volontaire 4 ans pour le 116e régiment d’infanterie à Vannes (même régiment que son père) le 6 mai 1908, sergent le 17 avril 1910 il  obtient le certificat de Bonne Conduite . Il quitte le service actif pour la réserve le 6 mai 1912.

  • Le 13 février 1913 il rengage pour cinq ans au 1er régiment d’artillerie coloniale  à  LORIENT comme 2e canonnier. Il est promu Brigadier le 1er mars 1914 puis Maréchal des Logis le 2 Août 1914.
  • Il participera aux campagnes contre l’Allemagne du 2 Août 1914 au 30 octobre 1919.  Il obtiendra la croix de guerre avec étoile de bronze et sera cité le 10 mai 1917 : « S’est employé avec un sang froid digne des plus grandes éloges à soustraire  les chevaux des avant-trains à un bombardement meurtrier. » Il est aussi titulaire de la médaille de la Victoire et de la médaille Commémorative.
  • Le 10 Août 1918 il est promu Maréchal des Logis Fourrier et rengage pour 4 ans le 4 juin 1919. Il recevra une lettre de félicitation le 9 Août 1919
  • Maréchal des Logis Chef en septembre 1920, il séjourne et fait campagne en A O F au 6e régiment d’artillerie coloniale du 28 février 1920 au 19 mars 1922 puis du 31 janvier 1933 au 5 décembre 1924. A son retour, il est alors affecté au 111e régiment d’artillerie coloniale Lourde de Lorient.
  •  Libéré du Service actif après 16 ans de service le 13 février 1925, il est affecté dans la réserve au 111e régiment d’artillerie lourde à Lorient.  Le 12 juillet 1925, il est décoré de la Médaille Militaire.
  • Il sera dégagé de toutes obligations militaires le 6 mai 1936.

Tous sont enterrés au cimetière d’ETEL. Le père la mère et les deux derniers enfants ont habités à ETEL 2, place de la République (place de la Mairie) .

Le 2 place de la république à Etel

 

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