LOCMARIAQUER
ANEZO Jean André
Quartier maître chauffeur sur le Contre torpilleur « BISON », MPLF le 03/05/1940 au large de la Norvège.
Le contre-torpilleur Bison
Information :
Du type « GUEPARS/VALMY » (1930-1940), le contre-torpilleur »BISON »(2.700 tonnes), construit par l’arsenal maritime de Lorient, a été mis en service le 24 octobre 1930. Capable d’atteindre la vitesse record de 40 nœuds, il a d’abord été affecté à Brest en 1932.Incorporé dans la 11e Division de contre-torpilleurs, durant la campagne de Norvège, il est attaqué par des avions allemands, et coule en quelques secondes devant Namsos (6542 N/07- 17E). Le naufrage fera 139 victimes, dont le capitaine de vaisseau BOUAN, commandant du « BISON ». Les rescapés seront recueillis par les destroyers HMS « GRIFFIN, IMPERIAL, et GRENADE »
AUDRAN Joseph Thomas Marie
Maître sur cargo P L M 22, MPLF 27/06/1941, en mer au Sud Ouest des Canaries, navire torpillé.
Source : railsdautrefois.fr
Information :
Cargo de la flotte charbonnière du PLM, construit en 1921. Réquisitionné 17/07/1940, saisi à Tyne par les Anglais. Réarmé par les FNFL, 27/06/1941, torpillé par l’U123 dans le convoi SL76 au sud des Açores. Chargé de minerai de fer de Freetown, le cargo a coulé comme un plomb de sonde, il y eut 33 disparus et 10 rescapés. (32 disparus selon une autre source sur 41 h d’équipage, 2 canonniers, 1 passager)
Le 8 mai 1945 dans le port de Lorient libéré on retrouva le U123. Saisi comme butin de guerre, il devint le « Blaison ».
Source : memorial-national-des-marins.fr
BERTHO Paul Louis Joseph
Matelot fourrier sur le contre Torpilleur « L’AUDACIEUX », MPLF le 23/09/1940 dans le naufrage du navire à Dakar.
Source : albordache.fr
Information :
« L’AUDACIEUX » est un contre torpilleur fabriqué à Lorient, mis en service en 1936. Le 23 septembre 1940, lors de l’attaque anglaise et des forces françaises libres sur Dakar, il est envoyé vers 16h30 reconnaître des navires de transport devant Rufisque. Engagé à 3600m par le croiseur HM « AUSTRALIA », il encaisse les 2e et 3e salve sur la passerelle qui est totalement détruite. Une torpille stockée sur le pont explose et créé une brèche dans la coque sur bâbord. La soute à mazout avant prend feu et la totalité du navire flambe rapidement. L’évacuation est ordonnée bien que les pièces de 138 avant continuent à tirer (elles épuiseront leurs munitions). Les survivants sont recueillis en fin d’après-midi. L’équipage compte 81 morts ou disparus et un grand nombre de blessés. L’épave dérive lentement et s’échoue sur la plage de Bargny où elle brûle durant 2 jours.
CORITON Vincent Mathurin
Quartier maître Fourrier MPLF le 08//12/1917 à bord du » BOUCLIER » entre Nieuport et Zuydcoote en mer du Nord, par accident, tué par l’explosion accidentelle d’une grenade. Il n’est pas mort dans le récit ci-dessous.
Source : perso.orange.fr/MT06
Récit particulier :
Selon le chroniqueur de la Revue politique et parlementaire (1917, Tome 91, p. 424), l’engagement qui s’est produit dans la nuit du 20 mai 1917 a opposé le « BOUCLIER » à des destroyers allemands qui, selon toute vraisemblance, tentaient d’aller bombarder Calais ou Dunkerque, ports qui, respectivement, l’avaient été les 21 et 25 avril. Il relatait ce qui suit :
« Selon leur habitude, les destroyers allemands descendaient la côte des Flandres dans l’intention que nous savons, losqu’ils furent révélés par les fusées éclairantes que l’on ne cesse de tirer sur le littoral belge et sur le front de l’Yser ; attaqués immédiatement par nos torpilleurs d’escadre, ils durent rebrousser chemin. L’un de nos bâtiments, le Bouclier, commandant Bijot, qui fonçait courageusement sur l’ennemi fut atteint par ces projectiles (sic) qui éclata sur la rambarde où le commandant était accoudé. Celui-ci fut tué ainsi que l’officier de manoeuvre et neuf hommes. L’officier en second, quoique grièvement blessé, prit la direction du navire, qu’il ramena dans la ligne. Un autre obus avait éclaté dans la chaufferie mais n’y avait atteint personne ».
L’anéantissement simultané de tout le personnel de quart sur la passerelle causa un désarroi qui favorisa la retraite des Allemands. Le BOUCLIER resté sans maître tourna sur lui-même et on ne le distingua pas pendant un instant de l’ennemi qui faisait des signaux trompeurs. Il fallut par prudence cesser le feu durant quelques secondes. Celles-ci furent mises à profit par nos adversaires pour regagner leur point d’appui. »
Récit à prendre, comme d’ordinaire, avec les réserves d’usage.
CORLOBE Jonah
Quartier maître de manœuvre, Mort le 18/11/1914, (NON MPLF), accidentellement de Noyade à Ferryville actuel Menzel Bourguiba (Tunisie).
DANIEL Paul Julien
Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 13/08/1916 à l’hôpital de Rouen (Hôtel Dieu), des suites de maladie (pleurésie purulente et plaies de la région thoracique droite par éclats d’obus reçus alors qu’il était fusilier marin.
GOUZER Henri Louis Marie
Premier maître aux équipages de la flotte, MPLF le 10/07/1944 à l’hôpital complémentaire de Casablanca au Maroc des suites de maladie contractée en service.
GROUHEL Jean
Maître fourrier sur le contre torpilleur « BISON », MPLF le 03/05/1940 en mer devant Namsos en mer de Norvège dans le naufrage du navire.
https://memorial-national-des-marins.fr/images/
Information :
Du type « GUEPARS/VALMY » (1930-1940), le contre-torpilleur »BISON »(2.700 tonnes), construit par l’arsenal maritime de Lorient, a été mis en service le 24 octobre 1930. Capable d’atteindre la vitesse record de 40 nœuds, il a d’abord été affecté à Brest en 1932.Incorporé dans la 11e Division de contre-torpilleurs, durant la campagne de Norvège, il est attaqué par des avions allemands, et coule en quelques secondes devant Namsos (6542 N/07- 17E). Le naufrage fera 139 victimes, dont le capitaine de vaisseau BOUAN, commandant du « BISON ». Les rescapés seront recueillis par les destroyers HMS « GRIFFIN, IMPERIAL, et GRENADE »
GUILLAM Léon Pierre Marie
Matelot au 2e Régiment de fusiliers Marins, MPLF le 6/07/1915 des suites de ses blessures dans l’ambulance océan sur la commune de La Panne (province de Flandre Occidentale).
GUILLAS Ismaël Joseph Marie
Matelot, MPLF le 23/02/1942 à Locmariaquer des suites de maladie contractée en service.
GUILLEVIC André Pierre henri
Quartier maitre de manœuvre, MPLF le 16/01/1945 à Locmariaquer des suites de maladie contractée en service.
GUILLEVIC François Marie
Matelot au 2e régiment de marins, MPLF le 20/12/1914 à Pypegale (Belgique), mort au champ d’honneur.
GUILLEVIC Pierre Marie
Quartier maître fusilier au 1er régiment de marins, MPLF le 21/10/1943 à à l’ hôpital maritime de Sidi Abdallah, Ferryville (Tunisie) des suites de maladie contractée en service.
HERVE François Marie
Matelot chauffeur sur l’aviso (ou dragueur-cannonière) la « DEDAIGNEUSE », MPLF le 10/02/1919 à Hôpital militaire Belvédére de Tunis (Tunisie) des suites de maladie contractée en service (congestion pulmonaire grippale).
Source forum.pages14-18.com
HERVE Guy Marie
Quartier-maître canonnier sur le chalutier KERYADO transformé en patrouilleur-auxiliaire, MPLF le 02/05/1917, en mer torpillé par un sous marin au large de l’île d’Yeu.
Information :
Le « KERYADO » avait été construit pour le compte de la pêcherie des Chalutiers de l’Ouest. il y avait 13 marins à bord et selon 4 Officiers. Son gaillard d’avant supportait un canon de 95mm et la dunette un canon de 47mm. Le 2 mai 1917, le chalutier (affecté à la Division des patrouilles de Gascogne) escorte un convoi de voiliers. À minuit et demi, il est torpillé par l’UC 72 à L’Ile d’YEU et coule immédiatement. Il n’y aura qu’un seul rescapé. le sous-marin allemand fera surface, pillera et coulera quatre autres voiliers dont l’ « YVONNE »… Les équipages regagneront la terre sur des embarcations de sauvetage.
Source : forum.pages14-18.com
Il a été cité à l’ordre de l’armée au JO du 15 octobre 1919.
» Le dragueur KERYADO : a été torpillé par un sous-marin, le 2 mai 1917, alors qu’il escortait un convoi de voiliers. Tout l’équipage a péri, sauf un homme « .
HERVE Vincent Marie
Second maître canonnier sur le cuirassé « BOUVET », MPLF 18/03/1915, disparu en mer lors du naufrage du navire éventré par une mine.
Information :
Cuirassé envoyé aux Dardanelles en décembre 1914 – Le 25 février 1915 il bombarde Hellès puis se tient début mars dans le golfe de Saros et pont Kavack – Le 18 mars 1915, éventré par une mine il chavire dans le détroit devant Tchanak et coule en 1 minute – Le bilan de ce naufrage fait état de 637 disparus et 60 rescapés.
LE BAIL François Édouard
Quartier maître sur le croiseur cuirassé « Amiral CHARNER », MPLF 08/02/1916 disparu en mer, navire torpillé par le sous-marin allemand U-21 près des côtes syriennes. Le bilan du naufrage fait état de 374 morts et un seul rescapé
Source : Wikipédia
LE BARON Jean Mathurin
Second maitre timonier sur le croiseur « AMIRAL CHARNER »,, MPLF le 08/02/1916 en mer, navire torpillé par un sous marin.
AMIRAL CHARNER
Information :
Croiseur cuirassé de type « CHANZY » (1893 – 1916), commencé en juin 1889, il est mis à flot le 18.03.1893, coulé le 08.02.1916.
Il rejoint, en 1896, les croiseurs de la Méditerranée, pour opérer en Crète. Puis il rejoint l’escadre d’Extrême-Orient, en 1901. Il revient en Méditerranée, dès 1905, et est mis en réserve à Toulon. Il opère la surveillance du canal de Suez en 1914, et participe, avec la Foudre, le Guichen, le Desaix et le D’Estrées, à l’évacuation de 4100 Arméniens du Musa Dagh en . Lors de son trajet de retour de l’île de Castellorizo, après un arrêt à l’île de Rouad, il devait atteindre Port Saïd mais il est torpillé le par un sous-marin allemand de type U-21 sous le commandement de Otto Hersing (1885-1960). Précisément par 33°21N et 34°54E à 42 milles de Beyrouth et à 15 milles de Sour / l’ancienne Tyr. Ses 4 736 tonnes coulent rapidement et l’Amiral Charner s’échoue à 1 500 mètres de profondeur. Il y eut 427 morts et un survivant : le quartier-maître canonnier Cariou.
Source : Wikipédia
LE CORFF Jean Ange
Quartier-maître opticien télémétriste sur le cuirassé « BRETAGNE », MPLF le 03/07/1940, en mer à Mers El Kébir, navire amarré et coulé par obus par les navires anglais.
Source Wikipédia
Information :
Bretagne : cuirassé construit à Brest en 1916. Après la capitulation signée par le maréchal Pétain, pour éviter qu’elle ne tombe entre les mains des Allemands, Churchill décide de détruire la flotte française qui stationne à Mers-el-kébir (6 km d’Oran) : opération Catapult. Les négociations entre les amiraux Somerville (anglais) et Gensoul (Français) échouent. Le pilonnage par les navires britanniques commence le 03/07 dans l’après-midi.
A 16h59, la Bretagne incapable d’appareiller, touchée de plein fouet par des obus de 380 et de 406, ravagée par les incendies, s’enfonce par l’arrière et chavire presqu’aussitôt entraînant des centaines de marins dans la mort; à 17h09 le cuirassé est couché, avec encore 800 hommes à bord, 200 ne pourront être sauvés et viendront s’ajouter à leurs camarades morts des ravages des obus anglais.
Le Bretagne a péri sans avoir tiré un seul coup de canon. Un bilan fait état de 308 survivants pour 1 320 personnes à bord.
Source : memorial-national-des-marins.fr
LE GAL Pierre Marie Henri
Second Maître Chauffeur sur le croiseur reconverti en mouilleur de mines « PLUTON », MPLF le 13/09/1939 en mer dans le port de Casablanca (Maroc), navire explosant accidentellement.
Source Wikipédia l’épave après l’explosion
Information :
Construit à Lorient en 1931. Le Pluton devant être appelé à servir de transport de troupes, il convenait de débarquer les mines stockées à bord dans des camions attendant le long du quai de Casablanca. Au rapport du cpt de frégate Benac, second du navire, c’est au cours de son désamorçage, qu’une mine a explosé, faisant sauter en chaîne d’autres mines et diverses munitions, éventrant le navire qui a coulé par l’arrière, et dévastant les quais alentour, causant la mort de 207 personnes, dont 196 marins du Pluton, et en blessant 107 autres. L’épave a été ferraillée sur place.
Source : memorial-national-des-marins.fr
LE LABOUSSE Marcel Joseph Marie
Matelot au 1er Régiment de marins, MPLF le 29/12/1914, tué à l’ennemi à Steenstraete (Belgique).
LE LABOUSSE Pierre Marie
Quartier maitre sur le « torpilleur de Dunkerque 319 », MPLF le 19/01/1915 en mer devant Nieuport alors que le navire saute sur une mine.
Source Wikipédia
Information :
Le Torpilleur 319, construit aux Chantiers Augustin Normand du Havre en 1907, 40 m de long pour 100 tonneaux, faisait partie de la Défense côtière, flottille de Dunkerque. Il a sauté sur une mine devant Nieuport le 19 janvier 1915 et s’est trouvé coupé en deux sur l’avant du kiosque. L’explosion a fait 5 tués et 4 blessés. Le Torpilleur 317 a tenté de remorquer l’épave (ou une partie de l’épave?) en vain. Ce même T 317 coulera sur une mine devant Calais le 27 fev 1916.
Source : memorial-national-des-marins.fr
LE PRIELLEC Pierre
Matelot chauffeur au 3e Dépôt des équipages de la Flotte de Lorient, MPLF le 08/08/1919 à l’hôpital de Port-Louis des suites de maladie contractée en service.
PUREN Eugène François Marie
Matelot chauffeur sur le croiseur auxilaire le « Provence II », MPLF le 06/02/1916, en mer lors du naufrage du navire au large du cap de Matapan (Grèce).
Information :
La Provence, paquebot postal en acier, le plus grand paquebot français en 1906 (chantiers de Penhoët). En 1914, est converti en croiseur auxiliaire et rebaptisé PROVENCE II. En 1915, li est transformé en transport de troupes. Le 26 février 1916, avec 1.800 soldats, PROVENCE II est torpillé au large du Cap Matapan, en Méditerranée, par le sous-marin allemand U 35 (cpt Arnaud de la Perrière) Le navire sombre rapidement, emportant près de 1.000 victimes.
Source : memorial-national-des-marins.fr
Tableau récapitulatif
NOM |
Prénoms |
Date MPLF |
Grade |
Lieu |
Unité |
ANEZO |
Jean André | 03/05/1940 | QM | En mer de Norvège | Contre torpilleur « BISON » coulé par tirs d’avion |
AUDRAN |
Joseph Thomas Marie | 27/06/1941 | M | En mer au large des Canaries | Cargo P L M 22 torpillé par un SM |
BERTHO |
Paul Louis Joseph | 23/09/1940 | M | En mer au large du Sénégal | Contre torpilleur « L’AUDACIEUX » Naufrage par tirs de navires ennemis |
CORITON |
Vincent Mathurin | 08/12/1917 | QM | En Mer | Contre Torpilleur « BOUCLIER » détruit par tirs navires ennemis |
CORLOBE |
Jonah | 18/11/1914
NON MPLF |
QM | Ferryville Tunisie | Noyade accidentelle |
DANIEL |
Paul Julien | 13/08/1916 | Matelot | A l’hôpital de Rouen | 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient |
GOUZER |
Henri Louis Marie | 10/07/1944 | PM | A l’hôpital de Casablancz | Dépôt des équipages de la flotte |
GROUHEL |
Jean | 03/05/1940 | M | En mer de Norvège | Contre Torpilleur « BISON » coulé par tirs avions |
GUILLAM |
Léon pierre marie | 06/07/1915 | Matelot(fus) | Tué à l’ennnemi La Panne en Belgique | 2e régiment de fusiliers Marins |
GUILLAS |
Ismael Joseph Marie | 23/02/1942 | Matelot | A Locmariaquer | Maladie |
GUILLEVIC |
André Pierre Marie | 16/01/1945 | QM | A Locmariaquer | Maladie |
GUILLEVIC |
François Marie | 20/12/1914 | Matelot | Tué à l’ennemi Pypegale Belgique | 2e régiment de marins |
GUILLEVIC |
Pierre Marie | 21/10/1943 | QM(fus) | A l’hôpital de Ferryville (Tunisie | 1er régiment de fusiliers marins |
HERVE |
François marie | 10/02/1919 | QM | A l’hôpital de Tunis de maladie en service | Dragueur canonnière « DEDAIGNEUSE » |
HERVE |
Guy Marie | 02/05/1917 | QM | En mer au large de l’île d’Yeu | Chalutier « KERYADO » patrouilleur auxiliaire torpillé par un SM |
HERVE |
Vincent Marie | 18/03/1915 | SM | En mer des Dardanelle | « BOUVET » torpillé par un SM |
LE BAIL |
François | 08/02/1916 | QM | En mer au large de la Syrie | Croiseur Cuirassier « AMIRAL CHARNER » torpillé par un SM |
LE BARON |
Jean Mathurin | 08/02/1916 | SM | En mer au large de la Syrie | Croiseur Cuirassier « AMIRAL CHARNER » par un SM |
LE CORFF |
Jean Ange | 03/07/1940 | QM | En mer à Mers El Kebir | Mouilleur de mines « BRETAGNE » |
LE GAL |
Pierre Marie Henri | 13/09/1939 | SM | Port de Casablanca | Croiseur mouilleur de mine « PLUTON » explose accidentellement |
LE LABOUSSE |
Marcel Joseph Marie | 29/12/1914 | Matelot(fus) | Tué à l’ennemi àStrenstraete (Belgique) | 1er régiment de marins |
LE LABOUSSE |
Pierre Marie | 19/01/1915 | En mer (Nieuport) | Quartier Maitre | Torpilleur 319, saute sur mine |
LE PRIELLEC |
Pierre | 08/08/1919 | Matelot | A l’hôpital de Port Louis de maladie en service | 3e Dépôt des équipages de la Flotte de Lorient |
PUREN |
Eugène | 28/02/1916 | Matelot | En mer au large du cap Matapan en Méditerranée | Croiseur auxiliaire » LE PROVENCE II » torpillé par SM |