MARINS ERDEVEN

ERDEVEN

<nouveau Monument aux morts d'ERDEVEN

monument aux morts d’ERDEVEN

Cas particuliers des inscrits maritimes d’Erdeven

GUHEL Joseph Marie :

Affecté initialement au 3e dépôt des équipage de la flotte à Lorient, il sert ensuite au 260e régiment d’infanterie, 2e compagnie, MPLF le 01/07/1916 à 600 mètres à l’Est de FAY (Somme), tué à l’ennemi.

GUILLEVIC Auguste Jean Marie :

Affecté initialement au 3e dépôt des équipage de la flotte à Lorient, il sert ensuite au 348e régiment d’infanterie,  MPLF le 16/06/1915 à Quennevières, Moulin sous Touvent (OISE).

Marins MPLF

BOZEC Vincent Louis

Quartier maître électricien aux torpilleurs de Dunkerque, MPLF le 18/02/1919 à l’hôpital Rosendaël. La tombe est au cimetière d’Etel.

KERZHERO Joseph Marie

Matelot chauffeur embarqué sur le cuirassé « MIRABEAU », MPLF le 30/06/1915 des suites des suites de ses blessures reçues dans l’explosion de l’arsenal de Malte.

Source www.navires-14-18

Information :

Cuirassé de la classe Danton lancé le 29/10/1909 Le Mirabeau sert sans dommage pendant la bataille des Dardanelles. Il se retrouve ensuite en escadre avec le Danton et le Liberté à Moudros, les Alliés ayant organisé lors des Vêpres grecques un blocus de la Grèce et des forces de la Triplice (Bulgarie, Turquie) en Méditerranée orientale.

Il est envoyé en 1919 en mer Noire avec un groupe d’autres cuirassés et croiseurs pour soutenir les forces blanches contre l’armée Rouge pendant la guerre civile russe durant laquelle il participe, en , au bombardement de Kherson pour protéger la garnison franco-grecque encerclée par les forces bolcheviques. Le Mirabeau est touché à ce moment-là par les premiers troubles qui secouent la flotte française lors de la vague de mutineries de 1919 et s’échoue ensuite devant Sébastopol à cause d’une violente tempête de neige. Plusieurs semaines de travail sont nécessaires pour le déséchouer en démontant une partie de son blindage et son artillerie. Le cuirassé rentre en France, pris en remorque par le Justice, mais beaucoup trop endommagé pour être réparé, il est désarmé en 1921, avec l’apparition d’une nouvelle classe de cuirassés et sert de cible d’entraînement avant d’être ferraillé en 1928.

source WIKIPEDIA

LE FLOCH Jean Jouis

Matelot, MPLF le 18/10/1917, naufragé du 4 mâts « JAQUELINE » torpillé par le sous-marin allemand U-101.

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Source Forum.pages 14-18.com

Information :

Construit en 1897 aux chantier FCM de La Seyne sur mer pour la compagnie A.D. Bordes. Il prit le nom de « JACQUELINE », prénom de la fille ainée de l’armateur.Caractéristiques du « JACQUELINE »:  quatre-mâts barque en acier type 4ba  (identique au « PERSEVERANCE »). « JACQUELINE » était un bon marcheur et sa plus belle traversée fut Barry–Iquique en 72 jours, en 1906.
Les membres de l’équipage ont été inscrits à titre posthume  au tableau spécial de la Médaille militaire et la croix de guerre avec étoile de bronze par arrêté du Ministre de la marine en date du 20 mars 1922 (J.O., 2 avr. 1922, p. 3.653), dont TUFFIGO Frédéric, Marie Disparus en mer le 25 9 1917 au cours d’une attaque  de leur bâtiment par l’ennemi. L’équipage comportait 35 hommes, officiers compris. Nul n’a jamais su comment finit le quatre-mâts « JACQUELINE », car il n’y eut aucun rescapé. Arrivant du Chili chargé de nitrate, le voilier suivait la même route que « PERSEVERANCE », coulé le 24 septembre.
Le 25 Septembre 1917, par 46°26N et 13°10W, il fut rencontré par le paquebot anglais « VICTORIA », de la pacific steam navigation company, celui-là même qui venait de recueillir les naufragés du « PERSEVERANCE ». A bord se trouvait donc le capitaine François Béquet de ce voilier Bordes, qui avait été second du « JACQUELINE » en 1902 (photo ci-dessus), et c’est par lui que nous connaissons les dernières heures du « JACQUELINE ».

Quelques années plus tard, on sut ce qui était arrivé par le rapport de guerre du lieutenant de vaisseau Koopmann, commandant l’U 101. En fait, le 25 Septembre une première torpille manqua le JACQUELINE. Le sous-marin dut s’éloigner car des escorteurs approchaient. La brume lui fit perdre le voilier. Mais à l’aube du 26, il retrouva le JACQUELINE qui poursuivait sa route et plaça une torpille au but.

LE FORMAL François

Matelot fusilier marin au 2e régiment de fusiliers marins , MPLF le 09/10/1914, disparu  au combat à la Melle en Belgique.

 

Tableau récapitulatif

NOM

Prénoms

Date MPLF

Grade

Lieu

Unité

BOZEC

Vincent Louis 18/02/1919 QM A l’hôpital Rosendaël. Torpilleurs de Dunkerque

KERZERHO

Joseph Marie 30/06/1915 Matelot Suites à ses blessures reçues dans l’explosion de l’arsenal de Malte. Cuirassé « MIRABEAU »,

LE FLOCH

Jean Louis 18/10/1917 Matelot En mer 4 mâts « JAQUELINE » torpillé par un sous-marin

LE FORMAL

François 09/10/1914 Matelot (fus) Disparu au combat à la Melle (Belgique) 2e régiment de fusiliers marins