MARINS ETEL

ETEL

Etel4

ARHURO Henri Paul Marie

Matelot affecté au 3e dépôt des équipages de la flotte basé à Lorient MPLF le 10/06/1915 à l’hôpital maritime de Lorient des suites de maladie contractée en service.

AUDIC François Marie

Second maître fusilier sur le croiseur- Cuirassé « LEON  GAMBETTA »,  MPLF le 27/04/1915 lors du naufrage du navire torpillé dans la nuit du 27 avril 1915 par l’U-5 de la marine impériale autrichienne à 14 miles du Cap Santa Maria di Leuca.

Information complémentaire :

Un seul canot peut être mis à l’eau. Il est prévu pour 58 hommes, mais 108 marins parviennent à y prendre place, et comme le temps est beau, ils font route aussitôt vers la côte italienne. Il est 2 h. Le canot atteindra miraculeusement le village de Santa Maria vers 8h du matin. L’alerte aussitôt donnée, de Tarente et de Brindisi, des torpilleurs se portent sur les lieux du drame. Des 500 hommes qui se trouvaient à l’eau à minuit, ils ne retrouvent que 29 survivants épuisés. On ne retrouve aucun officier. Le capitaine de vaisseau ANDRÉ, commandant le LEON GMBETTA et l’Amiral SENES sont parmi les 684 morts.Le corps du second maitre AUDIC  sera retrouvé et inhumé avec 57 autres marins dans la chapelle « Eroi Francesi » du cimetière de Castrignano-del-campo (Italie du Sud-Pouilles).

 BARGAIN Yves Corentin

Maître fourrier sur le cuirassé le « JAUREQUIBERRY », MPLF le 15/07/1918 à l’hôpital égyptien de Port Saïd (Égypte) des suites de maladie contractée en service.Cliquez pour agrandir

Cuirassé le Jauréguiberry
Source : imageshack.us

 BAUDET Ferdinand Marie

Matelot sur le cuirassé «  »VOLTAIRE », MPLF le 28/10/1915 à l’hôpital de Malte suite à ses blessures (brûlures sur le navire), inhumé au cimetière communal de Bighi sur l’île de Malte.


Source : imageshack.us

BAUDET Alphonse Marie

Fusiller marin au 1er régiment de canonniers marins, MPLF le 08/03/1916, tombé au champ d’honneur.

 

BODEVIN Pierre Michel

Quartier maître de manœuvre sur le dragueur auxiliaire « Emile DESCHAMPS », MPLF le 04/06/1940 lors du naufrage du navire coulé suite à un explosion causée par une mine lors de l’opération « Dynamo »consistant à évacuer la poche de Dunkerque.Il est inhumé dans la nécropole nationale de Chambière,  carré FR 39/45 tombe 560, dossier cote AC 21 P25232.


Source dkepaves.free.fr

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BOZEC Jean Marie

Quartier maître  sur le remorqueur « LE TAPIR » à la direction du port de Lorient, MPLF le 24/02/1917, disparu en mer alors que le navire saute sur une mine posée par le sous-marin UC-70 (KL Werner Fürbringer) devant Groix et coule par 47°40N et 003°34W.

Information :

Construit aux Forges et Chantiers de la Méditerranée à la Seyne/Mer, le Tapir était un remorqueur de rade à Lorient. Il fut lancé en Septembre 1907. Il participa entre autres, en février 1917, à la tentative de sauvetage du Rodi (steamer italien, pris en chasse par un sous-marin, qui s’échoua aux environs de Groix). Il sauta sur une mine le 24 Mars 1917 une semaine après le Tasso (bâtiment anglais transportant du matériel ferroviaire) pratiquement à la même position. Il n’y eu pas de survivant lors du naufrage.
Aujourd’hui les restes de ce bateau sont pratiquement mélangés à ceux du Tasso et reposent par 35m de profondeur sur un fond de roche.
La position de cette épave est 47°39′ 819N – 003°34′ 133W. Elle est répertoriée par le Shom sous le n° 14573.112.

Source : memorial-national-des-marins.fr

BOZEC Paul Louis Marie

Matelot sur le bâtiment citerne à eau « LE MARIGOT », MPLF le 20/09/1918 à Dakar (Sénégal).

BOZEC Vincent Louis

Quartier maître torpilleur sur les torpilleurs de Dunkerque, MPLF le 18/02/1919 à l’hôpital ROSENDEL de grippe et congestion pulmonaire, inhumé au cimetière communal d’Etel tombe N° 74 bis,  A 6-1

BULEON Frédéric Joseph Marie

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 26/10/1915 à Nieuport en Belgique, tué à l’ennemi, inhumé dans le Pas-de-Calais à la nécropole nationale Notre Dame de Lorette Carré 38, rang 10 tombe 7625

BURLUT Joachim Michel Vincent Eugène

Matelot affecté au 4e dépôt des équipages de la flotte de Rochefort (17) à la direction du port, MPLF le 13/03/1918 à l’hôpital maritime de Rochefort (Charente Maritime), inhumation carré militaire du cimetière maritime de Rochefort;  Carré C, rang, C, tombe 56

BURLUT Marcellin Marie

Second maître sur le cuirassé  » BOUVET »,  MPLF 18/03/1915 disparu en mer lors du naufrage du navire éventré par une mine.

Bachi du BOUVET

Information :

Cuirassé envoyé aux Dardanelles en décembre 1914 – Le 25 février 1915 il bombarde Hellès puis se tient début mars dans le golfe de Saros et pont Kavack – Le 18 mars 1915, éventré par une mine il chavire dans le détroit devant Tchanak et coule en 1 minute – Le bilan de ce naufrage fait état de 637 disparus et 60 rescapés

 CHOLET Pierre Vincent

Matelot au 2e dépôt des équipage de Saint Rean en défense fixe de Brest; MPLF le 14/16/1915 à l’hôpital maritime de Brest .

EVENNO Joseph, Louis, Marie

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Source Genweg

Marin pêcheur sur le chalutier « L’AS de CARREAU », MPLF le 14/15/1944 en mer mitraillé par un patrouilleur allemand alors que le bâtiment se trouvait en zone interdite. Le thonier-chalutier « AS de CARREAU », A 5 891, de 53 tonneaux, lancé en juin 1940 aux Sables-d’Olonne par le chantier Chauffeteau, était attaché à Étel depuis 1942. « Il appartenait depuis septembre 1940 à l’armement Yves Lepage, de Lorient.

Information particulière :

L’histoire a pu être rétablie grâce aux recherches de Rémy Guillevic, ancien maire, et aux témoignages des familles  d’anciens marins comme Firmin Terrin
Le 12 mai 1944, vers 9 h du matin, le chalutier « As de CARREAU » quitte le port d’Etel à destination des lieux de pêche au large des Birvideaux. Le 13, à 22 h, il est au mouillage à proximité de la zone interdite, quand un patrouilleur allemand l’approche et ouvre le feu. Joseph-Louis Marie Evenno, qui se trouve alors dans la timonerie, est touché mortellement. Il avait 41 ans. Son  nom est inscrit sur le monument aux morts d’Etel avec la mention « Morts pour la France ». Suite à cet hommage et à l’intervention de l’Ammac, tous les marins seront également inscrits au cénotaphe des péris en mer de la pointe Saint-Mathieu à Plougonvelin (29).

GUEZEL Louis Marie

Matelot au 3e dépôt des équipages de Lorient, MPLF le 27/07/1919 décédé à son domicile (en convalescence) des suites d’une tuberculose pulmonaire

GUILLAS Edouard Marie

Marin-pêcheur  sur le thonier « L’Ile du Rêve » MPLF le 27/08/1942 Mitraillé par la défense côtière allemande de Plouhinec (56).

Information :

Le 27 août 1942 à 8h00, « L’Ile du Rêve » quitte le port d’Etel où il était sans doute venu débarquer sa pêche, et alors qu’il longeait la côte de Plouhinec (56), il se fait mitrailler par des soldats allemands pour une raison inconnue.  Le matelot Edouard Guillas sera mortellement touché à la troisième rafale.

« L’Ile du Rêve »avait été construit en 1925 au Palais (Belle Ile – Morbihan). D’abord armé au quartier d’Auray (A 6064), il passera successivement à Port Louis puis à Lorient (L 2534). C’était un thonier à coque bois, avec gréement de dundee c’est-à-dire : deux mâts, le mât principal à l’avant avec grand-voile à corne surmontée d’un flèche, une trinquette et un foc sur l’avant. Le mât arrière, nettement plus court, implanté sur la voute du bateau derrière la barre, supporte une voile de tape-cul. « L’Ile du Rêve »mesurait 15,28m de long, 5,61 m de large pour un creux de 2,10 m. Il jaugeait 29 tx en brut et 20,37 tx en net.

Sources : « Etel 1939-1945 » –  Association Autrefois Etel et sa région, Archives : de Michel Perrin, Photo : collection Michel Perrin;  https://memorial-national-des-marins.fr/g/3524-ile-du-reve

JUPIET Louis Marie Ferdinand

Matelot affecté sur pétrolier « MEUSE »,  MPLF le 17/08/1917 dans la naufrage du navire, coulé par le sous-marin allemand UC-72 (OL Ernst Voigt) dans l’W des Iles Scilly à 140 milles dans le SW d’Ouessant. Il a été inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire en ces termes : « Glorieusement disparus avec leur bâtiment, le vapeur Meuse-II, coulé le 17 août 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. » [arrêté du Ministre de la Marine en date du 4 janvier 1922 (art. 2 ; J.O. 12 janv. 1922, p. 602 et 609)].

KERHINO Louis Marie

Matelot, marin de commerce sur le 5 mâts  « FRANCE », MPLF le 21/10/1918 à l’hôpital de Dakar (Sénégal).

Information :

Le France fut l’un des plus grands cinq-mâts barques, à coque et mâts d’acier, de son temps. Il fut construit en 1890 dans le chantier naval écossais de Glasgow pour l’armement Bordes et fils de Dunkerque, premier armement français de voiliers-cargos et deuxième mondial à cette époque.


Navire  cinq mats FRANCE II en remplacement du navire ci-dessus coulé en 1897
Source : Wikipedia.org

Le France II était un navire marchand français, équipé de cinq mâts, mais aussi de deux moteurs. Il était tout de même considéré comme étant un voilier, puisque ses déplacements étaient principalement tirés de la force du vent. Longueur : 127 m vitesse 17 nœuds,  début de la construction : mars 1912, Gréement : Cinq-mâts barque.

KERZERHO François Marie

Quartier maître cuisinier sur le torpilleur le « SIROCO », MPLF le 31/05/1940, alors que le navire est torpillé par S-Boote S-23 et S-26 et achevé par la Luftwaffe avec plus de 750 soldats à bord. Sur un total de 159, l’ équipage perd 3 officiers et 53 hommes, plus de 600 soldats embarqués à Dunkerque sont portés manquants.

Source : i48.servimg.com

Message

MessageSujet: La fin du torpilleur SIROCO (31 mai 1940)   Jeu 8 Juil 2010 – 23:25


Bonsoir

à la date du 31 mai, le torpilleur SIROCO, de la 2e flotille des torpilleurs de l’Atlantique, commandé successivement par le capitaine de corvette LAPEBIE et par le capitaine de corvette de TOULOUSE-LAUTREC-MONFA, a déjà, par quatre fois, été cité à l’ordre de l’armée de mer.

Première citation : « Sous le commandement du capitaine de corvette LAPEBIE, a, étant escorteur d’un convoi, attaqué avec succès et détruit un sous-marin ennemi, le 15 novembre 1939 ».

deuxième citation : « Sous le commandement du capitaine de corvette LAPEBIE, a, étant escorteur d’un convoi, attaqué de nuit au canon et à la grenade et détruit un sous-marin ennemi, le 20 novembre 1939 »;

Troisième citation : « Sous le commandement du capitaine de corvette LAPEBIE, a, étant escorteur d’un convoi, attaqué avec succès un sous-marin ennemi, le 16 décembre 1939 ».

Quatrième citation : Sous le commandement du capitaine de corvette de TOULOUSE-LAUTREC-MONFA, a vaillamment pris part aux opérations en Mer du Nord, lors de l’invasion allemande en Belgique et en Hollande ».
Depuis le 9 mai, affecté à la base de Dunkerque et placé sous les ordres de l’Amiral ABRIAL, le SIROCO a effectué avec succès toutes les missions qui lui ont été fixées. Grâce à l’habileté manoeuvrière de son commandant et à l’entraînement de son équipage, il a passé à peu près intact à travers tous les bombardements de l’aviation ennemie. Le SIROCO a réussi à transporter sains et saufs en Angleterre les 750 hommes de l’armée de terre qu’il avait à son bord.

Revenu à proximité de Dunkerque dans l’après-midi du 31 mai, le SIROCO a dû attendre la nuit pour venir à quai. En effet, la ville brûle et les bombardements de l’aviation allemande se suivent sans interruption. Vers 21h00, protégée par l’obscurité, la manoeuvre est devenue possible et l’embarquement commence aussitôt.
Environ 750 hommes de l’armée de terre sont embarqués. Il y a parmi eux le porte-drapeau et le drapeau du 92ème RI. Les hommes sont pressés les uns contre les autres. Le bâtiment est chargé à fond. Vers 22h00 il n’y a plus une place disponible. Le SIROCO appareille et s’éloigne à vitesse réduite.
… Tous les yeux, toutes les oreilles scrutent la nuit. Voici qu’un bombardier tourne et retourne au-dessus du torpilleur. .
Il est une heure du matin, brusquement, un quartier-maître qui veille à babord signale un sillage de torpille. Déjà le SIROCO bat en arrière à toute vitesse et vient en grand sur la gauche. La torpille passe à l’avant sans toucher le navire. Immédiatement les mitrailleuses de 13 ouvrent le feu sur l’ennemi qu’on distingue mal, probablement une vedette allemande.
Quelques secondes plus tard deux autres torpilles atteignent le navire. Le pont s’entr’ouvre, projetant sur la plage avant une pluie de tôles, de maillons, d’éclats de métal de toute sortes. Le dessus du roof est arraché et retombe à tribord dans un fracas épouvantable.
. Puis d’un seul coup le SIROCO se couche sur tribord et s’enfonce rapidement par l’arrière.
Tout le monde se trouve à l’eau. des navires ne tardent pas à venir au secours des naufragés et parmi eux le torpilleur anglais WINDGEON. Une bonne part de l’équipage et des soldats embarqués sont sauvés.
Les autres disparaissent dans l’eau sombre où vient de s’engloutir un des plus glorieux bâtiments de la flotte française.

KERZERHO Joseph Jean Marie

Matelot sur le cuirassé le « SUFFREN », MPLF Le 26/11/1916 alors que le navire est torpillé par un sous marin allemand avec son équipage au large de Lisbonne (Portugal). Les 648 membres de l’équipage sont naufragés et déclarés péris en mer.

LE BLAY Eugéne Marie

Matelot à la direction du port à Cherbourg, MPLF le 10/12/1918 à l’hôpital militaire de Cherboug, des suites de maladie contractée en service, inhumé au carré militaire du carré militaire du cimetière de Cherbourg Octeville division 7 rang 12, ligne 16.

LE BOURGOCQ Henri AngeJean Maurice

Quartier maitre électricien sur le sous-Marin « LE BERNOUILLY », MPLF le 13/02/1918 lors du naufrage du sous-marin qui disparait corps et biens au large des bouches de Cattaro, en sautant probablement sur une mine. Le bilan du naufrage fait état de 29 victimes, jugement du tribunal de Toulon le 6/8/1918.

LE DREVES Charles Auguste

Second maître fusilier sur le cuirassé LE BOUVET , MPLF le 18/03/1915 alors que le navire est torpillé.

Bachi du BOUVET

Le cuirassé LE BOUVET 1897 1915

Information :

Cuirassé envoyé aux Dardanelles en décembre 1914 – Le 25 février 1915 il bombarde Hellès puis se tient début mars dans le golfe de Saros et pont Kavack – Le 18 mars 1915, éventré par une mine il chavire dans le détroit devant Tchanak et coule en 1 minute – Le bilan de ce naufrage fait état de 637 disparus et 60 rescapés

LE DIRAISON Eugène François Marie

Matelot chauffeur au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 24/06/1915 à l’hôpital temporaire de Zuydcoote (Belgique) des suites de ses blessures, inhumé dans la nécropole nationale de Zuydcoote, carré 1 tombe N° 833.

LE GOUARD Jean Marie

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 11/11/1914 à Dixmude (Belgique) tué à l’ennemi.

LE GRAS Jean François Félix

Engagé le 20/10/1942 dans les Forces Navales de la France Libre (F.N.F.L.) – Matricules : 113 L39 et 172 FN42, MPLF le 21/12/1943 (23 ans) en Manche.

source : http://ecole.nav.traditions.free.fr/cdo_autres_brattesani.htm

Information :

Mis en service en 1940. Le chasseur N°5 participe à l’évacuation de la poche de Dunkerque (26 mai – 4 juin 1940). Il est saisi par la Royal Navy le 3 juillet 1940 puis réarmé F.N.F.L.. Le navire a quitté Portland à 6h du matin pour escorter un sous-marin anglais à Portsmouth. Pris dans une violente tempête, en face du village de Svanage à une trentaine de kilomètres de Portland, (Anil point dans le Dorset). le bâtiment qui était, selon un rescapé, le jeu de vagues immenses, a chaviré quille en l’air à 10h30, faisant 24 victimes. Il n’y aura que 6 rescapés.

source : http://ecole.nav.traditions.free.fr/cdo_autres_brattesani.htm

LE GUEN Louis Marie Emmanuel

Matelot au 1er régiment de fusiliers marins,  3e bataillon, MPLF le 10/11/1914 à Dixmude (Belgique), tué à l’ennemi.

LE LAMER Émile Marie

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 17/06/1918 à l’hôpital maritime de Port-Louis.

LE MESTIQUE Armand Auguste

Second maître fusilier au 5e dépôt des équipages de la flotte basé à Toulon, affecté à bord du « SONTAY », MPLF le 12/06/1915  d’une tuberculose pulmonaire à bord du bâtiment au cours de son rapatriement vers Toulon, inhumé en mer le 13/06/1915.

Information :

Paquebot des messageries maritimes réquisitionné en transport auxiliaire en mars 1916 à Saigon pour le transport de soldats russes de Dalny à Marseille puis comme transport de troupes en Méditerranée. Le 16 avril 1917, le bâtiment en route de Salonique vers Marseille est torpillé par le sous-marin allemand UC-33, au large de la Tunisie (à une centaine de milles dans le SE de Malte).

LE MIGNANT Jean Marie

Matelot gabier sur le dundee pêche « HIRONDELLE », MPLF le 02/09/1918, à bord du bateau coulé le 2 septembre 1918 par l’U-53 (Otto von Schrader), dans le Nord du golfe de Gascogne par 47°32N et 08°55W, jugement du 13/8/1919 de Lorient. Afficher l'image d'origineSource : image.jimcdn.com

LE NAMOUR Louis Marie

Matelot sur le torpilleur « ALGERIEN »,  MPLF le 10/11/1918 à Le Pirée (Grèce), mort accidentellement en service.

Information :

L' »ALGERIEN » comme les 16 torpilleurs de la classe Arabe appartenait à la classe Kaba japonaise; les torpilleurs de construction japonaise se distinguaient par une grande longueur 82,96 m par rapport à la largeur 7,33 m pour cette classe ; le coefficient longueur/largeur supérieur à 10 en faisait des navires très effilés favorables à une grande vitesse; nos 800 t de la classe bouclier bien que plus lourds, mesuraient entre 74 et 78 m de longueur pour une largeur de 7,6 m à 8 m.

LE POAH Félix Jean Marie

Matelot canonnier au dépôt des équipages de la flotte, MPLF 23/05/1918 à l’hôpital de Sidi Abdallah (Tunisie), des suites de maladie contractée en service à Ferreyvillet.

LEBLE Ernest Eugène Marie

Maître manœuvrier sur « L’Enjoué », MPLF le 09/01/1945 dans le naufrage du navire.
information:
Ernest Le Blé passa son enfance à Etel. Il était célibataire. Il fût marin-pêcheur avant d’entrer à l’école de Saint Servan, à Saint Malo, en 1937/1938; puis il fût affecté sur  » L’Enjoué » (Ex USS PC-482, construit en 1942, cédé à la France 15/07/1944 type corvette, 335 ts, transfert à Casablanca sous immatriculation W44)  comme maître manœuvrier.Le 9 janvier 1945, Son bateau qui assurait avec  » l’Effronté » l’escorte du cargo français « Agen » entre Gibraltar et Casablanca fût détruit par une violente explosion, à 16 heures 40, à 10 milles dans le nord-est du cap Spartel .Il disparut en moins de 30 secondes entrainant la mort de tout l’équipage. Le torpillage du bâtiment fut attribué à un sous-marin allemand, l’U-840. « 

LESTRAT Jean Marie

Matelot gabier sur l’aviso « LA SCARPE », affecté d’abord à BIZERTE, MPLF 26/06/1918 à l’hôpital de Lorient d’une congestion pulmonaire, « qui peut être considérée comme imputable au service commandé ».

Image

Source Forum.pages 14 18.com

information:

Aviso affecté à Bizerte en 1918 puis aux patrouilles en Atlantique. En mars 1919 il est envoyé à Constantinople puis en Mer Noire et participe à l’évacuation des ports de la Mer d’Azov.

LOFFICIAL Alcide Marie

Matelot canonnier marin, ayant servi au 1er régiment de canonniers marins, MPLF le 12/07/1917 à l’hôpital complémentaire n° 33 de Vannes, décédé accidentellement en service. Les canonniers-marins ont servi dans de multiples petites unités (canonnières fluviales, péniches, batteries diverses, ouvrages, artillerie de front de mer, régiment puis 1er Régiment de Canonniers-Marins). Il est inhumé à Vannes au carré militaire du cimetière de Boismoreau, carré 35, rang 3, tombe 41.

MAHEO Julien Marie

Matelot mécanicien au 5e dépôt des équipages de la flotte de Toulon, MPLF  le 15/07/1915 à l’hôpital maritime de saint Mandrier,  des suites de maladie contractée en service, frère de Cyrille sur le même monument,  inhumé à la nécropole nationale de Sant Mandrier ; rang E,  tombe 27

MAHEO Marcelin Marie

Matelot au 4e dépôt de La Rochelle, NON  MPLF le 20/10/1917 à l’hôpital complémentaire n°27 d’Auray d’une maladie non imputable au service.

OURY Auguste Ange Marie

Second maître électricien sur le croiseur « LORRAINE », MPLF le 13/06/1918 à Corfou en Grèce à l’hôpital militaire d’Achilléon mort des suites de maladie contractée en  service.

PENVERNE Joseph Marie

Second maître torpilleur (mission D) en Serbie, MPLF le 8/10/1915 à l’hôpital militaire de Belgrade (Serbie) des suites de ses blessures de guerre.

Information :

A la demande du gouvernement serbe, une batterie de trois pièces de marine de 14 cm, personnel et matériel, fut envoyée en Serbie à l’effet de défense de Belgrade contre les monitors autrichiens. Elle était placée sous les ordres du lieutenant de vaisseau PICOT, chef de mission. mission navale navale française sera citée à l’ordre de l’armée.

Texte de la citation:

« La mission navale française en Serbie (mission D) : a rendu des services très appréciés pendant la campagne de Serbie. A lutté héroïquement contre une force d’artillerie ennemie considérablement supérieure pendant la bataille de Belgrade, les 5, 6, 7 et 8 octobre 1915 ».  Vers 22 heures le 6, le projecteur de Karabourma est atteint, porte-plane brisée, miroir percé au centre, câble de la commande coupé : le second-maître électricien PENVERNE, Joseph-Marie est blessé à la main, il se panse lui-même et reste à son poste ; il sera blessé mortellement au matin, par une balle de shrapnell. (Journal officiel du 29 janvier 1916)

PURENNE Auguste Marie

Matelot sur le cuirassé « LE BOUVET », MPLF le 18/03/1915 lors du naufrage du navire éventré par une mine (Jugement du 20/3/1916 de Toulon).

Bachi du BOUVET naufrage du BOUVET

Information :

Cuirassé envoyé aux Dardanelles en décembre 1914. Le 25 février 1915 il bombarde Hellès puis se tient début mars dans le golfe de Saros et pont Kavack – Le 18 mars 1915, éventré par une mine il chavire dans le détroit devant Tchanak et coule en 1 minute – Le bilan de ce naufrage fait état de 637 disparus et 60 rescapés

 RAUD Alexandre françois Marie

MPLF le 04/03/1940 (46 ans) lors du naufrage du navire.

Information :

SNA 1 : cargo de 2 679 t, construit en 1922, appartenant à la Société Nationale d’Affrètement. Le 4 mars 1940, allant d’Ardrossan sur Rouen fut abordé et coulé par le cargo britannique Thurston dans le canal de Bristol. L’abordeur récupéra les 31 h du SNA1, puis le Thurston fut à son tour torpillé par le U29, seul le novice du SNA 1 sauvera sa vie ainsi que 3 marins du Thurston.

RIO Louis Fortune

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 26/09/1940 tué au cours d’un bombardement aérien, dossier AC cote CC862J11666.

STOLL Bernard  Jean-Jacques

Enseigne de vaisseau de 2e classe , affecté à la flottille 12 F, pilote de l’avion LTV F8 E (FN) Crusader n° 25, mort dans l’accomplissement de son devoir le 26/10/1981 en mer Méditerranée, au large de Saint-Tropez (Var).

TARTAISE Alexandre Marie

Matelot du 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 10/07/1916 à l’hôpital maritime de Lorient des suites de maladie contractée en service.

TUFFIGO Frédéric Marie

Matelot fusilier sur le quatre mâts Barques  « JACQUELINE », MPLF le 25/09/1917 alors que la navire est torpillé par le sous-marin U-101 (KL Karl Koopmann).  Il n’y eut aucun survivant (35 hommes).

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Source Forum.pages 14-18.com

Information :

Construit en 1897 aux chantier FCM de La Seyne sur mer pour la compagnie A.D. Bordes. Il prit le nom de « JACQUELINE », prénom de la fille ainée de l’armateur. Caractéristiques du « JACQUELINE »:  quatre-mâts barque en acier type 4ba  (identique au « PERSEVERANCE »). « JACQUELINE » était un bon marcheur et sa plus belle traversée fut Barry–Iquique en 72 jours, en 1906.
Les membres de l’équipage ont été inscrits à titre posthume  au tableau spécial de la Médaille militaire et la croix de guerre avec étoile de bronze par arrêté du Ministre de la marine en date du 20 mars 1922 (J.O., 2 avr. 1922, p. 3.653), dont TUFFIGO Frédéric, Marie Disparus en mer le 25 9 1917 au cours d’une attaque  de leur bâtiment par l’ennemi. L’équipage comportait 35 hommes, officiers compris. Nul n’a jamais su comment finit le quatre-mâts « JACQUELINE », car il n’y eut aucun rescapé. Arrivant du Chili chargé de nitrate, le voilier suivait la même route que « PERSEVERANCE », coulé le 24 septembre.
Le 25 Septembre 1917, par 46°26N et 13°10W, il fut rencontré par le paquebot anglais « VICTORIA », de la pacific steam navigation company, celui-là même qui venait de recueillir les naufragés du « PERSEVERANCE ». A bord se trouvait donc le capitaine François Béquet de ce voilier Bordes, qui avait été second du « JACQUELINE » en 1902 (photo ci-dessus), et c’est par lui que nous connaissons les dernières heures du « JACQUELINE ».

Quelques années plus tard, on sut ce qui était arrivé par le rapport de guerre du lieutenant de vaisseau Koopmann, commandant l’U 101. En fait, le 25 Septembre une première torpille manqua le JACQUELINE. Le sous-marin dut s’éloigner car des escorteurs approchaient. La brume lui fit perdre le voilier. Mais à l’aube du 26, il retrouva le JACQUELINE qui poursuivait sa route et plaça une torpille au but.

le JACQUELINE sous voiles, à l’appareillage
Source : navires-14-18.com
Source : navires-14-18.com

Tableau récapitulatif

NOM

Prénoms

Date MPLF

Grade

Lieu

Unité

ARHURO

Henry Paul Marie 10/06/1915 Matelot A l’hôpital maritime de Lorient suite maladie contractée en service. 3e dépôt des équipages de la flotte

AUDIC

François Marie 27/04/1915 SM(fus) En mer à 14 miles du Cap Santa Maria di Leuca. Croiseur- Cuirassé « LEON » torpillé par un SM

BARGAIN

Yves Corentin 15/07/1918 M A l’hôpital égyptien de Port Saïd (Égypte) des suites de maladie contractée en service. Cuirassé le « JAUREQUIBERRY »

BAUDET

Ferdinand Marie 28/10/1915 Matelot A l’hôpital de Malte suite à ses blessures (brûlures sur le navire) Cuirassé «  »VOLTAIRE

BAUDET

Alphonse Marie 08/03/1916 Matelot(fus) Tombé au champ d’honneur. 1er régiment de canonniers marins,

BODEVIN

Pierre Michel 04/06/1940 QM En mer près de Dunkerque Dragueur auxiliaire « Emile DESCHAMPS », coulé par mine

BOZEC

Jean Marie 24/02/1917 QM En mer, au large de Groix Remorqueur « LE TAPIR » coulé par mine

BOZEC

Paul Louis Marie 20/09/1918 Matelot A Dakar (Sénégal). bâtiment citerne à eau « LE MARIGOT »,

BOZEC

Vincent Louis 18/02/1919 QM A l’hôpital ROSENDEL, de maladie contractée en service Torpilleurs de DUNKERQUE

BULEON

Frédéric Joseph Marie 26/10/1915 Matelot(fus) Tué à l’ennemi à Nieuport  (Belgique) 2e régiment de fusiliers marins

BURLUT

Joachim Michel Vincent Eugène 13/03/1918 Matelot A l’hôpital maritime de Rochefort (Charente Maritime) 4e dépôt des équipages de la flotte de Rochefort (17) t,

BURLUT

Marcellin Marie 18/03/1915 SM En mer aux Dardanelles Cuirassé  » BOUVET » naufrage par mine

CHOLET

Pierre Vincent 14/06/1915 Matelot A l’hôpital maritime de Brest . 2e dépôt des équipage de Saint Rean

EVENO

Joseph Marie 14/05/1944 Marin pêcheur  En mer au large des Birvideaux chalutier « L’AS de CARREAU », Mitraillé par patrouilleur allemand

GUEZEL

Louis Marie 17/07/1919 Matelot  Décédé à son domicile (en convalescence) des suites d’une tuberculose pulmonaire 3e dépôt des équipages de Lorient

JUPIET

Louis Marie Ferdinand 17/08/1917 Matelot En mer à 140 milles au SW d’Ouessant. Pétrolier « MEUSE », coulé par un SM

KERHINO

Louis Marie 21/10/1918 Matelot A l’hôpital de Dakar (Sénégal). 5 mâts  « FRANCE »,

KERZERHO

François Marie 31/05/1940 QM En mer au large de Dunkerque Torpilleur le « SIROCO » torpillé par un SM

KERZERHO

Joseph Jean Marie 26/11/1916 Matelot En mer au large de Lisbonne (Portugal Cuirassé le « SUFFREN

LE BLAY

Eugène Marie 10/12/1918 Matelot A l’hôpital militaire de Cherboug, des suites de maladie contractée en service Direction du port à Cherbourg

LE BOURGOCQ

henri Ange Jean Maurice 13/02/1918 QM En mer au large des bouches de Cattaro Sous-Marin « LE BERNOUILLY » disparu probablement par mine

LE DREVES

Charles Auguste 18/03/1915 SM En mer aux Dardanelles Cuirassé « LE BOUVET » torpillé par un SM

LE DIRAISON

Eugène François Marie 24/06/1915 Matelot A l’hôpital temporaire de Zuydcoote (Belgique) des suites de ses blessures 2e régiment de fusiliers marins

LE GOUARD

Jean Marie 11/11/1914 Matelot(fus) Tué à l’ennemi à Dixmude (Belgique) 2e régiment de fusiliers marins

LE GUEN

Louis Marie Emmanuel 10/11/1914 Matelot(fus) Tué à l’ennemi à Dixmude (Belgique) 1er régiment de fusiliers marins

LE LAMER

Émile Marie 17/06/1918 Matelot A l’hôpital maritime de Port-Louis. 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient

LE MESTIQUE

Armand Auguste 12/06/1915 SM(fus) Décédé  d’une tuberculose pulmonaire à bord du bâtiment au cours de son rapatriement vers Toulon 5e dépôt des équipages de la flotte basé à Toulon, affecté à bord du « SONTAY

LE MIGNANT

Jean Marie 02/09/1918 Matelot gabier En Mer, dans le Nord du golfe de Gascogne p Dundee pêche « HIRONDELLE torpillé par SM

LE NAMOUR

Louis Marie 10/11/1918 Matelot Mort accidentellement en service. à Le Pirée (Grèce), Torpilleur « ALGERIEN

LE POAH

Félix Jean Marie 23/05/1918 Matelot A l’hôpital de Sidi Abdallah (Tunisie), des suites de maladie en service Dépôt des équipages de la flotte

LESTRAT

Jean Marie 26/06/1918 Matelot A l’hôpital de Lorient de maladie en service Aviso « LA SCARPE

LOFFICIAL

Alcide Marie 12/07/1/917 Matelot  A l’hôpital complémentaire n° 33 de Vannes, décédé accidentellement en service 1er régiment de canonniers marins,

MAHEO

Julien Marie 15/07/1915 Matelot A l’hôpital maritime de saint Mandrier,  de maladie en service 5e dépôt des équipages de la flotte de Toulon,

MAHEO

Marcellin Marie 20/10/1917

non MPLF

Matelot  A l’hôpital complémentaire n°27 d’Auray de maladie non imputable au service 4e dépôt de La Rochelle

OURY

Auguste Ange Marie 13/06/1918 SM A l’hôpital militaire d’Achilléon de Corfou en Grèces de maladie en  service. Croiseur « LORRAINE »

PENVERNE

Joseph Marie 08/10/1915 SM Des suites de ses blessures à l’hôpital militaire de Belgrade (Serbie) En mission

PURENNE

Auguste Marie 18/03/1915 Matelot En mer aux Dardanelles Cuirassé « LE BOUVET » torpillé par un SM

RIO

Louis Fortune 26/09/1940 Matelot  Tué au cours d’un bombardement aérien 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient

STOLL

Bernard Jean-Jacques 26/10/1981 EV2 En mer Méditerranée, au large de Saint-Tropez (Var). Flottille 12 F

TARTAISE

Alexandre Marie 10/07/1916 Matelot  A l’hôpital maritime de Lorient de maladie en service 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient

TUFFIGO

Frédéric Marie 25/09/1917 Matelot(fus)  En Mer quatre mâts Barques  « JACQUELINE » torpillé par un SM