MARINS BELZ

Cas particulier

Sans doute l’ancien monument aux morts de BELZ transformé au moment de l’agrandissement du cimetière Elle est devenue support d’un monument aux morts à la mémoire des marins disparus en mer. La dernière plaque commémorative date d’une disparition en 2000. Les noms et les dates de disparitions figurent sur des plaques fixées de part et d’autre de cette croix monumentale.

Inscription : A LA MÉMOIRE DES MARINS DISPARUS EN MER

BELZ

 

IMG_1722 BELZ

ALLANIC Louis, Marie

Matelot du 2e Régiment de fusiliers marins MPLF le 19/10/1914e, disparu lors des combats de Dixmudes (Belgique).

BIHAN Julien

Novice (mousse qui a atteint l’âge de 16 ans) sur le paquebot « Le TRIGNAC »,  MPLF le 25/02/1916, disparu en mer alors que le paquebot saute sur une mine.  Par arrêté du Ministre de la marine en date du 20 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 2 avr. 1922, p. 3.653), les marins furent inscrits à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire.924_001TRignac

BONNEC Jean Marie Augustin

Matelot sans spécialité porté sur le rôle d’ équipage du navire le « MEKNES, MPLF le 24/07/1940 disparu en mer, le navire est torpillé par les allemands au sud de Portland (Angleterre), le naufrage fait plus de 400 disparus.

source: https://fr.wikipedia.org

Monuments commémoratifs à Saint-Martin-en-Campagne (Normandie)

Information:

Il est réquisitionné au début de la seconde guerre mondiale le 24 juillet 1940, soit un mois après la signature de l’armistice par le maréchal PÉTAIN. Il quitte Southampton. Il embarque environ 1300 militaires qui préfèrent rentrer en France occupée au lieu de continuer la lutte aux côtés des Britanniques avec le général de GAULLE. Dans la nuit du 24 au 25 juillet, il est torpillé par des vedettes lance-torpilles allemandes. Le naufrage cause la mort de 420 passagers.

BOUILLY Théodore François

Matelot chauffeur sur le remorqueur le « CAUDAN », MPLF le 19/12/1918, devant Smyrne, navire coulé par mine

caudanaviso-1907remorqueur
Photo extrait  carte postale du remorqueur Aviso CAUDAN aux fêtes d’inauguration de st Nazaire en 1907 Carte postale Delaveau Saint NAZAIRE

Information :

Le Remorqueur « CAUDAN » mis en chantier à Nantes en 1888  rentre en service  en 1891. Stationné à Lorient, bâtiment de servitude, remorqueur de but de tir en 1915,  il participe à la bataille des Dardanelles puis à partir du 01 novembre 918 il participe aux dragages de mines à l’entrée des Dardanelles et sur la côte d’Anatolie. Le 19/12/1918 il saute sur une mine devant Smyrne  Le capitaine de corvette  FOILLARD commandant et les 27 Hommes sont portés disparus lors du naufrage.

CAILLOSSE Casimir Julien Marie

Matelot aux écoles de la marine de Lorient sur le chalutier « LA TANCHE, MPLF le 19/06/1940, en mer, navire coulé par mine.

tableau(liseret)

Information :

L’exode de civils fuyant l’avancée des troupes allemandes en mai-juin 1940 amène de nombreuses personnes à Lorient. Dès le 15 juin, les navires présents dans la ville commencent à évacuer la population par la mer ; certains navires mettent le cap vers l’Angleterre. Des mines maritimes sont mouillées dans la rade de Lorient par des bombardiers allemands pour éviter que des navires ne puissent rejoindre les troupes alliés. Le 18 juin, le préfet maritime ordonne à tous les navires de pêche d’évacuer Lorient et de nombreux civils et soldats fuient par la même occasion l’avancée allemande7. La Tanche arrive dans ce contexte dans le port le matin du 19 juin, de retour d’une campagne de pêche au maquereau. Il rejoint un autre navire du même armateur, Le Saint Pierre, arrivé à Lorient dans des conditions similaires9.

Au matin du 19 juin, il ne reste plus que ces deux chalutiers au port de pêche de Keroman qui puissent servir aux réfugiés. Les 70 tonnes de charbon nécessaires au fonctionnement des bateaux sont chargées à la main, les grutiers du port ayant quitté la ville la veille9. Le premier des deux bateaux, Le Saint Pierre, prend la mer le même jour avec à son bord des réfugiés, des soldats français et polonais de Coëtquidan, des apprentis de l’école des mécaniciens de la Marine nationale et des soldats de corps divers.

Vers 15 h, La Tanche quitte le port avec environ 250 personnes à bord. Il s’engage dans la passe Ouest des Courreaux de Groix à 16 h, mais celle-ci n’a pas encore été draguée alors que des avions allemands y ont largué des mines sous-marines. À 16 h 10, il saute à la sortie de la rade, dans les Courreaux de Groix, sur une des mines magnétiques mouillées par un avion allemand à proximité des rochers nommés « Les Errants » et « La Truie » et coule en quelques minutes. Le courrier de Groix est le premier navire à arriver sur les lieux, suivis par une pinasse de Gâvres.

Très peu de rescapés sont dénombrés, à peine une douzaine, dont plusieurs meurent de leurs blessures. Cent dix-sept corps seront ensuite repêchés dans les mois suivants, dans une zone s’étendant de Clohars-Carnoët à Quiberon.

Plusieurs victimes sont enterrées dans les jours suivant le naufrage au cimetière de Beg tal Men à Larmor-Plage. La municipalité fait par la suite élever un monument portant l’inscription « La commune de Larmor-Plage Aux Naufragés de La Tanche Morts pour La France Le 19 juin 1940 ». Les victimes repêchées les jours suivants et dont les corps n’ont pas été réclamés ou identifiés, sont enterrées à Lorient dans le cimetière de Kerentrech11. D’autres sont aussi enterrées au cimetière de Groix. Une stèle à la mémoire des victimes de ce naufrage est érigée au cimetière de Kerentrech à Lorient en 1987.

Source Wikipedia
stèle(liseret)

Stèle : source medenosmarins.fr
Le monument du souvenir où reposent les restes des victimes du chalutier « La Tanche » a été inauguré en 1987 à Lorient, à l’initiative du général André Roux, délégué du Souvenir Français.
Une rue est nommée en l’honneur du chalutier et des victimes de son naufrage à Lorient.
Source Wikipedia

COUILLEROUX Léon Marie

Matelot au 1er régiment de fusiliers marins, MPLF le 15/08/1916 sur la commune de saint Georges, tué à l’ennemi. Inhumé  à ALBIN Saint Nazaire, nécropole nationale « Notre Dame de Lorette ; carré 49 tombe 9648.

DAVID Joseph Marie

Matelot affecté sur le remorqueur « PARIS », MPLF le 06/02/1919. affrété à Constantinople le 17 décembre 1918 par la Marine Nationale et armé par un équipage de la Marine. La base de Constantza, qui venait d’être créée et dépendait administrativement de Constantinople avait demandé à cette dernière un remorqueur pour assurer les services du port. Le 6 février 1919 il est dirigé sur Constantza avec ordre de relâcher à Varna en mer Noire. Il n’arrivera jamais à destination (déclaré disparu corps et biens). L’équipage comprenait 16 hommes.

Information

Les conditions de la disparition du PARIS  telles qu’on les trouve aux archives sont pour le moins originales. Les documents, qui se suivent, sont assez surprenants :

Le remorqueur PARIS était un vapeur de 117 tx JB et 285 cv de puissance, inscrit au Véritas et au consulat de France à Constantinople. Il avait été loué pour compter du 17 Novembre 1918 par contrat en date du 20  décembre à Monsieur Alexandre PANDERNALI, directeur adjoint de la société française de remorquage et de pilotage de Constantinople.

La base de Constantza, qui venait d’être créée et dépendait administrativement de Constantinople, avait demandé à cette dernière un remorqueur pour assurer les services du port. Le 6 février 1919, Constantinople dirigea donc le remorqueur « PARIS » sur Constantza en lui donnant l’ordre de relâcher à Varna. Par l’intermédiaire du cuirassé « PATRIE », elle envoya à marine Varna le télégramme suivant : Remorqueur » PARIS » appareille pour Varna-Constantza le 6 février à 15h00.

  • Un mois plus tard, le 9 Mars exactement, Constantinople envoie une note à Constantza pour réclamer des manches à incendie qui se trouvaient sur le « PARIS » et appartenaient au remorqueur « FRANCE ». Le 16 Mars, le commandant de la base de Constantza répond que le « PARIS » n’est pas encore arrivé. Le 20 mars, supposant que le remorqueur est resté à Varna, Constantinople envoie la même demande à Marine Varna.
  • Le  10 Avril, Marine Varna envoie une note qui arrive le 21 avril à Constantinople indiquant que le « PARIS » n’a jamais fait escale à Varna.Le 23 Avril, l’officier supérieur qui avait ordonné le mouvement, le commandant LE VAY, demande à l’amiral si le remorqueur n’a pas reçu une autre destination. Sur sa réponse négative, il envoie la note suivante : »J’ai l’honneur de vous rendre compte que le remorqueur » PARIS », dont on est sans nouvelles depuis le 6 février doit être considéré comme perdu corps et biens.
  • Le 27 avril, soit presque trois mois après l’appareillage de Constantinople, l’amiral envoie à Marine Paris le télégramme suivant : « Le remorqueur « PARIS », loué à la société française de remorqueurs de Constantinople, parti le 6 février pour Varna, n’est jamais arrivé à destination. Aucune nouvelle depuis. Acte de disparition dressée par base de Constantinople pour l’équipage. Familles non encore prévenues. Liste nominative équipage vous est signalée en clair par télégramme, liste de 16 marins  dont DAVID joseph Marie. Le capitaine était le second maître de manœuvre, Félix VIBERT et le chef mécanicien le second maître mécanicien Jean MISEREY.
  • L’officier qui a mené l’enquête adresse une note de service le 3 Juin 1919 au commandant en chef de la 1re armée navale : « J’ai l’honneur de vous faire savoir que je trouve tout à fait fâcheux que le capitaine de frégate GARNIER n’ait pas signalé que le « PARIS », annoncé, n’était pas arrivé et que le capitaine de vaisseau LE VAY ne se soit pas préoccupé d’obtenir plus tôt de ses nouvelles. On prévint quand même les familles qui devaient être un peu inquiètes de n’avoir aucunes nouvelles depuis trois mois… Aucune hypothèse n’est formulée quant aux causes de la disparition. Peut-être une mine ? « 
Extraits http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/remorqueur-paris-sujet_265_1.htm

GROUHEL Joseph Marie

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 10/11/1914, disparu à Dixmude (Belgique).

GROUHEL Louis François Marie

Matelot au peloton militaire de Sidi Abdalla, MPLF le 05/11/1918, de maladie à l’hôpital militaire de Sidi Abdalla (Tunisie).

GUILLEVIC  Joseph Marie

Matelot affecté aux 3e dépôt des équipages de la flotte à Lorient, MPLF le 30/03/1915 tombé à la mer à Lorient à bord du Calédonien.

Image

Historique du CALEDONIEN :

Transport affecté au transport des forçats vers la Nouvelle Calédonie. Le transport CALEDONIEN, comme ses sister-ships, est un navire prévu pour marcher principalement à la voile. Il a été mis en chantier à Saint-Nazaire en 1882. Il faisait partie de la série des 3 nouveaux transports destinés à la liaison France/Nouvelle-Calédonie (CALEDONIEN, MAGELLAN, PACIFIQUE) qui devaient remplacer les vieux vaisseaux à deux ponts (FONTENOY, LOIRE).

Le CALEDONIEN devint en 1895  à Toulon annexe du navire-école des canonniers la COURONNE. Il est ensuite école des gabiers et devient en 1913 école des fusiliers puis comme annexe au 3e dépôt de Lorient. il est démoli à Lorient en 1925.

Extraits http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/caledonien-transport-nationale-sujet_1681_1.htm

GUYONVARCH Louis Marie

Matelot de l’Aviso torpilleur « LE CASSINI » , MPLF le 19/02/1917 , l’aviso sombre après avoir sauté sur une mine devant Bonifacio, mine larguée par le sous-marin UC 35 (KL Ernst von Voigt) dans les bouches de Bonifacio.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a9/Cassini4hq6.jpg

Information :

Aucun U-Boot n’était dans les parages du CASSINIquand il a coulé après avoir heurté l’une des 18 mines du barrage 554 mis en place le 23 par le sous-marin UC 35. Le 28, l’UC 35 se trouvait au large de l’île de Linosa entre Sicile et Tunisie, sur la route de retour à sa base. L’aviso a bien sauté sur une mine contrairement à ce qu’un journal avait annoncé à l’époque (coulé par un U-Boat et mitraillage des survivants).   Extrait de la copie du Tribunal d’instance de Cherbourg du 5 mars 1918 et transcrit au registre de l’Etat-Civil à Cherbourg : « Déclare constant les décès par suite de leur disparition en mer dans le naufrage du torpilleur d’escadre CASSINI le 28 février 1917 à une heure quinze minutes, des cent six personnes

HERVE Théodore Marie

Fusilier marin du 2e régiment de fusiliers marins,  MPLF Le 09/11/1914 à Dixmude (Belgique), tué à l’ennemi.

JOLLIVET Pierre Marie

Fusilier marin du  1er régiment de fusiliers marins, MPLF le 19/11/1914  à Dixmude (Belgique), tué à l’ennemi.

KERMORVANT Marcel Charles Marie

Matelot du 1er régiment de fusiliers marins, MPLF le 1/11/1914  à l’hôpital de Calais des suites de ses blessures de guerre.

LE BIDEAU Aimé Julien

Matelot sur le trois mâts barques « MICHELET », MPLF le 19/04/1918, navire coulé par un sous marin sur les côtes d’Afrique.

LE BOULER Jean Vincent

Matelot sur un cargo renommé LOIRE , MPLF le 13/11/1939, navire coulé par un sous-marin U26 au large de Gibraltar.

 

LE CHAPELAIN François

Matelot au 1er régiment de fusiliers marins , MPLF le 22/12/1914, mort des suites de ses blessures à l’hôpital de Fumes (Belgique).

LE GUEN Jean Marie

Matelot à bord de la Canonnière SURPRISE , MPLF le 03/12/1916, navire coulé (torpillé) par un sous marin alors qu’elle était en mouillage à Funchel (Madère)

 

source: memorial-national-des-marins
Information
La canonnière SURPRISE était détachée dans l’Océan Atlantique. Sous le commandement du Lieutenant de Vaisseau MEGISSIER, elle a participé à l’occupation de Coco Beach, chef lieu du territoire allemand du Muny au Gabon. Elle a été torpillée au mouillage de Funchal (Madère), le 3 décembre 1916. Elle était alors commandée par le Lieutenant de Vaisseau LADONNE.
Texte de la citation à l’ordre de l’Armée (Journal officiel du 16 novembre 1919)

« La canonnière SURPRISE après de vaillantes actions de guerre au Cameroun et une campagne difficile au Maroc, a été torpillée au mouillage forain de Funchal. Tous à bord ont donné le plus bel exemple de courage, de discipline et de sang-froid »

LE LAMER Victor Pierre Marie

Matelot au 1er régiment de fusiliers marins, MPLF le 31/10/1914 à Dunkerque.

LE MAUX Émile Marie

Matelot à bord du croiseur cuirassé DUPLEIX, MPLF le 26/05/1915, tué à l’ennemi lors d’une reconnaissance dans le port de Boudroum (Turquie).

Information

Le 25 mai 1915, le Dupleix se présente avec le destroyer anglais Kennet devant Boudroum, où l’on croit que les Turcs ont préparé un approvisionnement de pétrole pour sous-marins, et demande à visiter les goélettes mouillées dans le port. Les autorités lui promettent une réponse pour le lendemain ; plein de confiance dans leurs bonnes dispositions, il revient, seul, le 26 mai ; la baleinière qu’il envoie à terre, commandée par le lieutenant de vaisseau Matha, est accueillie par des salves de mousqueterie ; tous ses hommes sont tués ou blessés, et elle dérive vers le fond du port. Un canot parti pour la secourir est reçu de la même manière et doit s’abriter derrière un rocher sur lequel sautent les hommes valides. Le Dupleix vient les reprendre, sous une vive fusillade qui tue le lieutenant de vaisseau Bernadac et blesse plusieurs marins de l’équipage. Après avoir vainement hissé le pavillon de parlementaire pour tâcher de négocier la remise de ses hommes, il bombarde le port pendant trois heures et rentre à Moudros. Cette affaire lui a coûté huit morts, onze blessés, dont le capitaine de frégate de Saint-Seine, commandant, et dix-neuf disparus.

LE MAUX Jean Marie

Matelot sur le paquebot GASCOGNE transformé en navire atelier, MPLF le 09/01/1916, de maladie après avoir été transféré sur le navire hôpital SPHINX.

Paquebot GASCOGNE
http://www.messageries-maritimes.org/sphin8.jpg

Navire hôpital SPHINX

LE PORT Armand Joseph

 Matelot a bord du 3 mâts  GALLIA , MPLF le 07/08/1919, péri en mer, bateau coulé par abordage du cargo anglais WAR WICH au large de Terre Neuve.

LE PORT Pierre Marie

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte, MPLF le 10/11/1915, mort noyé das le port de Lorient.

LE RUNIGO Jean Marie

Matelot sur le cuirassé SUFFREN , MPLF le 26/11/1916, péri en mer, bateau coulé par un sous marin allemand.

Information

Le 26 novembre 1916 le cuirassé Suffren fait naufrage dans le Golfe de Gascogne. Rentrant de la campagne des Dardanelles après une escale au Pirée (Grèce) où il a embarqué une centaine de permissionnaires, le Suffren est coulé au petit matin par le sous-marin allemand U.52. Les autorités françaises ont longtemps cru que le Suffren fragilisé par des avaries subies durant les Dardanelles, avait coulé lors d’une tempête d’autant que le capitaine du U.52 pensant avoir envoyé par le fond un bâtiment anglais ne l’a jamais revendiqué. Il n’y a aucun survivant parmi les 628 hommes d’équipage et les 22 officiers.

LE RUNIGO Léon

Second maître du 1er régiment de fusiliers marins affecté à la compagnie de reconnaissance de la 1re Division Française Libre, MPLF le 04/06/1945, tué par l’explosion d’une mine dans le secteur de Tivoli (Italie).

LE VISAGE Joseph Marie

Matelot matelot sur le contre torpilleur PANTHER, MPLF le 07/12/1916, des suites de ses blessures après explosion d’une chaudière.

Information

Le PANTHER est Contre-torpilleur grec saisi par la Marine Nationale en décembre 1916. A la même date une explosion de chaudière provoque plusieurs victimes parmi l’équipage de prise (essentiellement du cuirassé Patrie). Le navire sera restitué à la Grèce en 1918.

Le matelot LE VISAGE est enterré dans le cimetière militaire de Gastouri, sur l’île de Corfou, qui rassemble 208 militaires français décédés lors des opérations en mers Ionienne et Adriatique pendant la Grande Guerre.

LOFFICIAL Arthur Jean Marie

Matelot à bord du cuirassé le JEAN BART, MLPF le 15/09/1918, décède de la grippe à l’infirmerie du navire à Corfou.

Information :

Lors de la 1re guerre mondiale Le Jean-Bart sert en Méditerranée, durant la Première Guerre mondiale. Il est torpillé le 21 décembre 1914 par le sous-marin autrichien U12 dans le canal d’Otrante. Sérieusement touché sur le bâbord avant, au niveau de la cambuse, il repart à faible allure sur Malte, où il arrive le 27 décembre pour subir des réparations. Il ne quittera son bassin de réparation à Malte que le 1er avril 1915. En fin de conflit, il est attaché à la 1re escadre de Corfou.Lors d’une croisière en mer Noire, il est concerné par les mutineries de 1919. Il est stationné durant l’entre-deux-guerres à Toulon.

Le matelot LOFFICIAL est enterré dans le cimetière militaire de Gastouri, sur l’île de Corfou, qui rassemble 208 militaires français décédés lors des opérations en mers Ionienne et Adriatique pendant la Grande Guerre.

L’OFFICIAL Joseph Marie

Matelot à bord du contre torpilleur DAGUE, MPLF le 24/02/1915, en mer avec la perte du DAGUE.

Information  

Au début de la première guerre mondiale, Le DAGUE sert à la 1re armée navale en méditerranée. Il est  engagé en appui des convois maritimes d’approvisionnement de la ville de Bar (MONTENEGRO). Dans la soirée du 24 février 1915, par temps couvert, le Dague, accompagné de son sister ship le Faulx, escorte le cargo britannique Whitebread, chargé de ravitailler en matériel le gouvernement monténégrin. En raison du vent qui soufflait ce soir-là, mais également pour parer à une éventuelle attaque aérienne, le Dague mouilla au large une fois le Whitebread amarré. Il est touché par une mine dérivante et coule aussitôt, 38 survivants sont recueillis par le Faulx, Le naufrage du contre-torpilleur Dague fut la première perte française en Adriatique et l’évènement eut un grand retentissement en France.

MAGADUR Alexandre Marie

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 25/10/1914, tué au combat à Dixmude (Belgique).

MALLET Désiré

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 17/06/1917, de maladie à l’hôpital maritime de Port-Louis (« ramollissement cérébral »).

MAX Raymond Adolphe Nicolas

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 13/11/1916, de maladie lors d’un congé à Belz (néphrite chronique).

MORON Jean François

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 02/06/1915, des suites de ses blessures de guerre à l’hôpital mixte de Boulogne sur Mer.

PERSONNIC Jean Marie

Matelot au 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient, MPLF le 29/05/1915, de maladie contracté en service (tuberculose pulmonaire).

PERSONNIC Joseph Marie

Matelot au 2e régiment de fusiliers marins, MPLF le 20/10/1914, des suites de ses blessures de guerre à bord du navire hôpital DUGAY TROUIN.

SONNIC Julien Marie

Matelot au 1er régiment de fusiliers marins, MPLF le 10/11/1914, disparu lors des combats de Dixmude (Belgique).

 

Tableau récapitulatif

NOM

Prénoms

date MPLF

Lieu

Grade

Position

ALLANIC

Louis Marie 19/10/1914 Disparu à Dixmude (Belgique) Matelot 2e régiment de fusiliers marins

BIHAN

Julien 25/02/1916 En mer Novice Cargo Le TRIGNAC saute sur Mine

BONNEC

Jean Marie Augustin 24/07/1940 En mer sud de Portland (Angleterre) Matelot Paquebot LE MEKNES torpillé par un SM

BOUILLY

Théodore François Marie 18/12/1918 En Mer Smyrne Matelot Remorqueur CAUDAN saute sur mine

COUILLEROUX

Léon Marie 15/08/1916 Tué à l’ennemi à Saint Georges (Belgique) Matelot 1errégiment de fusiliers marins

DAVID

Joseph Marie 06/02/1919 En Mer Matelot Remorqueur PARIS perdu en mer

GROUHEL

Joseph Marie 10/11/1914 disparu aux comabts à Dixmude (Belgique) FM 2e régiment de fusiliers marins

GROUHEL

Louis françois marie 05/11/1918 Sidi Abdallah Tunisie Matelot Peloton militaire de Sidi Abdallah

GUILLEVIC

Joseph Marie 30/03/1915 En Mer Matelot 3e Dépôt des Equipages de la Flotte Lorient

GUYONVARCH

Louis marie 28/02/1917 En mer devant BONIFACIO Matelot Aviso Torpilleur CASSINI saute sur mine devant bonfaccio

HERVE

Théodore Marie 09/11/1914 Tué à l’ennemi à Dixmude (Belgique) Matelot 2e régiment de fusiliers marins

JOLLIVET

Pierre Marie 19/11/1914 Tué à l’ennemi à Dixmude (Belgique) Matelot 1er régiment de fusiliers marins

KERMORVANT

Marcel Charles Marie 17/11/1914 A l’hôpital de Calais de blessures au combat Matelot 1er régiment de fusiliers marins

LE BIDEAU

Aimé Julien 19/04/1918 En Mer Côte d’Afrique Matelot Trois Mâts barque MICHELET coulé par SM

LE BOULER

Jean Vincent 13/11/1939 En mer Gibraltar Matelot Cargo renommé LOIRE torpillé par SM

LE CHAPELAIN

 François 22/12/1914 A l’hôpital de Fumes (Belgique) de blessures au combat Matelot 1er régiment de fusiliers marins

LE GUEN

Jean Marie 03/12/1916 En Mer Madère Matelot Canonnière SURPRISE torpillé

LE LAMER

Victor Pierre Marie 31/10/1914 Dunkerque (59) Matelot 1er régiment de fusiliers marins

LE MAUX

Emile Marie 26/05/1915 Tué à l’ennemi à Boudroum Turquie Matelot Croiseur cuirassé DUPLEIX

LE MAUX

Jean Marie 19/01/1916  En mer de maladie en service Matelot sans spécialité Paquebot GASCOGNE transformé navire atelier

LE PORT

Armand Joseph 07/08/1919 en Mer Sardaigne Matelot 3 mâts goëlette GALLIA

LE PORT

Pierre Marie 10/11/1915 à l’hôpital maritime de Port-Louis de maladie en service Matelot 3e Dépôt des équipages de la flotte à Lorient

LE RUNIGO

Jean Marie 26/11/1916 En Mer Matelot Cuirassé SUFFREN torpillé par SM allemand

LE RUNIGO

Léon 04/06/1945 Italie secteur Tivoli second Maitre   1er régiment de fusiliers marins

LE VISAGE

Joseph Marie 07/12/1916 En Mer Matelot Contre torpilleur Grec PANTHER saisi par la marine française

L’OFFICIAL

Arthur Jean Marie 15/09/1918 En  mer côte Corfou Matelot Cuirassé JEAN BART torpillé par SM

L’OFFICIAL

Joseph Marie 01/02/1915 En Mer matelot 1re Armée navale contre torpilleur DAGUE

MAGADUR

Alexandre Marie 25/10/1914 Dixmude Belgique Matelot 2e régiment de fusiliers marins

MALLET

Désiré 17/06/1917 A l’hôpital maritime de Port-Louis de maldie en service Matelot 3e dépôt des équipages de la flotte de Lorient

MAX

Raymond Adolphe Nicolas 13/11/1916 A Belz de maladie en service Matelot 3e Dépôt des équipages de la flotte à Lorient

MORON

Jean François 02/06/1915 A Boulogne sur Mer de ses blessures de guerre Matelot 2e régiment de fusiliers marins

PERSONNIC

Jean Marie 29/05/1915 A Belz de maladie en service Matelot 3e Dépôt des équipages de la flotte à Lorient

PERSONNIC

Joseph Marie 29/10/1914 en Mer Matelot 2e régiment de fusiliers marins à bord du DUGUAY TROUIN , navire Hôpital

SONNIC

Julien Marie 10/11/1914 Disparu à Dixmude (Belgique) Matelot 1errégiment de fusiliers marins