LA TRINITE SUR MER : 39/45

RIGOINE de FOUGEROLLES  Yves

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Né le 06/07/1913 à La Trinité sur mer, Fils de Georges et de Renée MÉNARD. Il demeure à la Trinité-sur-Mer, courtier en huîtres et répartiteur de chaux.

  • militaire, membre du réseau « ‘ALLIANCE, arrêté le 30 octobre 1944 , déportation jugé et condamné à mort il sera fusillé à Heilbronn (dossier militaire AC- 21 P – 145988).

MPLF le 21/08/1944, déclaré « Mort en déportation » par arrêté du 26 février 2013. Il est inhumé dans un premier temps dans le cimetière de Sonthein-Neckar Puis comme ses 24 autres camarades, son corps sera ensuite inhumé en juin 1947, à Strasbourg à la nécropole nationale de Strasbourg-Cronenbourg (Bas-Rhin).

Tombe n° 105    carré 2,   plaque sur tombe familiale

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FRÈRES GOUZERH

GOUZERH Jean 

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Né le 26/04/1921  à Montoir-de-Bretagne (44).

  • quartier maitre manœuvre au 4e régiment de fusiliers marins, il décède le 15 mai 1945 à l’hôpital du Calvaire de Pont Auteau(44) (Dossier militaire CC8-62 E-5198).

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MPLF le 15/05/1945. Son nom a été rajouté en 2015 sur le monument aux morts de La Trinité sur Mer.

Tombe n° 47 Carré  2

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GOUZERH Charles

Né le 08/09/1918 à  La Trinité sur Mer.

  • matelot spécialiste sur le dragueur D202, il décède le 10 octobre 1945 à bord du dragueur D202 à l’hôpital Sainte Anne de Toulon après avoir manipulé un appareil à gaz à bord de son bateau (militaire dossier CC8-62E-5197).

MPLF le 10/10/1945 , document portant la mention MPLF 10/09/1945 du Ministre de la Marine, acte de décès transcrit à la mairie de Toulon (Var). Le corps a été rapatrié à la Trinité sur Mer.

Tombe n° 47     carré 2

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HILBERT  fils et Père

HILBERT Gaston, Louis, Marie 

Né le  18/08/1925 à  La Trinité sur Mer, fils de Louis Marie Hilbert  ci-dessous Mort pour la France en 1939 , marin, et de Jeanne Marie Le Bayon, son épouse, sans profession. Célibataire, il était domicilié chez sa mère au village de Kermarquer à La Trinité-sur-Mer (Morbihan).

  • Militaire au 2e bataillon des forces françaises du Morbihan (FFMB), il décède à Loperhet en Erdeven (militaire dossier AC-21-P52735)

MPLF le  29/10/1944.

Tombe n° 31   carré 4

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HILBERT LOUIS

source: https://memorial-national-des-marins.fr

Né le 18/12/1895 à La Trinité sur Mer, Fils de Pierre Marie HILBERT et de Marie Joseph BIGENT, Soldat puis marin de commerce.

  • Il s’engage à Brest le 10 janvier 1912 dans les conditions de la loi du 22 juillet 1886 pour le dépôt des équipages de la flotte. Matelot de 2e classe le 1er octobre 1913, de 1re classe le 1er juillet 1916, inscrit à Auray le 1er Août 1919. Quartier Maitre Artificier le 1er avril 1918, il est placé en congés illimité de démobilisation le 16 août 1919 et se retire à La Trinité sur Mer avec un certificat de bonne conduite. Il est rayé des matricules sz l’inscription maritime le 15 juillet 1936. Il est immatriculé au bureau maritime de Lorient le 21 juillet 1936 puis réinscrit à Auray.
  • matelot embarqué sur le «LOIRE », il est porté disparu le 13 novembre 1939 alors que le bateau est torpillé par le sous marin U BOOT U26 au large de Gibraltar.

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MPLF le 13/11/1939, [décision 1062/DEF/CAB/SDBC/CPAG du 22/01/2008 «La disparition du vapeur LOIRE a pour origine un fait de guerre »], l’acte de décès a été transcrit à la mairie de La Trinité sur Mer.

Tombe n° 31  carré 4

 

LE MOUROUX Gaston Joachin

Né le 18/02/1904 à La Trinité sur Mer.

  • militaire au service géographique militaire il décède le 03 novembre 1944 à Alger des suites de ses blessures. [militaire dossier AC- 21P-77334]

MPLF le 03/11/1944

Tombe n° 62  carré 2

LE PEN Jean Marie

Né en 1901, Fils de Pierre LE PEN  et de Marie HUBERT,époux  d’Anne Marie HERVÉ. Il habite la trinité sur Mer et exerce la profession de  Patron Pêcheur. Il est président de l’association des anciens combattants et conseiller municipal de La Trinité-sur-Mer.

  • Tué au large de La Trinité sur Mer par l’explosion d’une mine flottante ayant heurté son bateau.

MPLF le 28/03/1942

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LE PORT Charles Gaston Louis

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Né le 23/01/1920 à Ergué-Armel (Finistère), célibataire, ouvrier SNCF .

  • Charles Le Port avait été désigné pour partir travailler en Allemagne. Il parvint à s’évader de Dortmund (ou de ne pas revenir d’une permission) et, de retour, participa à la Résistance dans le cadre du bataillon La Cour d’Auvergne (FTPF) à partir d’avril 1943. Il distribua des tracts et participa à de nombreuses actions.
    Il fut arrêté le 15 février 1944 à Quimper par la Sipo-SD alors qu’il se rendait en mission en car à Pouldreuzic, mais les conditions précises restent floues. Emmanuel Brusq et Jean Simon* furent interpellés dans la même affaire. Interné à la prison Saint-Charles de Quimper, accusé d’appartenir à un mouvement communiste, il fut jugé, le 21 avril 1944 par le tribunal allemand FK 752 de Quimper qui le condamna à mort. Les Allemands le fusillèrent le jour même sur les dunes de Poulquen à Penmarc’h avec une trentaine d’autres résistants. La fosse fut ouverte le 31 août 1944 et livra les trente-cinq cadavres. (Voir Yves Bévin militaire des forces françaises de l’intérieur (FFI), il décède le 21 avril 1944 fusillé par les allemands à Guen en Penmarch (Finistère) [militaire dossier AC-21P-78271]
Source maitron.fr

MPLF le 21/04/1944.

Tombe n° 63 carré 4

LE YONDRE François Joseph Marie

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Né le 23/04/1923 à PLOEMEL, fils de Joseph Marie Joachim LE YONDRE et de Marie Louise KERDAVID.

  • militaire au 2e  bataillon des forces françaises de l’intérieur (FFI); il décède au village de La Nouette lors des combats de Saint Marcel le 18juin 1944 [militaire dossier AC- 21P-84332].

MPLF le 18/06/1944, ordre du 07/07/1945 du secrétariat général des anciens combattants.

Tombe n° 142 carré 1, acte de décès transcrit à la mairie de Sérent. Initialement inhumé dans la tombe de ses parents, les restes mortels sont dans une caisse dans l’ossuaire du cimetière voire plaque apposée sur l’ossuaire par le souvenir Français.

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MARTIN Raoul Marie Félix

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Né le 11/09/1899 Toul (Meurthe et Moselle), fils de Paul Marie MARTIN et de Charlotte Adrienne Renée DENTZ et pour épouse Aimée Marie Germaine PRIEUR.

  • capitaine au 6e régiment de chasseurs d’Afrique (RCA), il décède le 27 juin 1941 au cours de l’encerclement de Chéhim (Beyrouth, Liban), des suites de ses graves blessures après avoir lutter jusqu’à l’épuisement.

MPLF le 27/06/1941.

Tombe n° 22    carré 4

Textes de ses citations

Guerre 14/18 : citation ordre du Régiment de janvier 1919:

A rempli avec beaucoup de courage et de sang froid les délicates fonctions d’officier de liaison entre la division et le Régiment notamment le 28 septembre 1918 malgré d’énormes difficulté et les bombardement

Région de MEKNES ; ordre général N°413 ; citation à l’ordre de la colonne

Lieutenant du 8ème  Spahis; Jeune  officier plein d’allant le 3 septembre 1923 au combat de Aït BAZZa commandant le peloton d’avant garde, a fait preuve pendant toute la progression d’une audace et d’un sang froid au-dessus de tout éloge, malgré le feu violent des dissidents (janvier 1924)

Ordre de l’armée n°58

Capitaine commandant, plein de bravoure et d’énergie communicative. A animé son escadron dès le début des opérations. N’a cessé de payer de sa personne pour donner à tout son personnel, malgré la violence des tirs ennemis de toute nature, l’exemple du plus complet mépris du danger.

Texte officier de la Légion d’honneur

Chargé de la Défense de Chéhim, le 25 juin 1941 a mis en fuite un peloton de cavalerie qui se portait à l’attaque de ce village. Le 27 juin, ce même village étant attaqué, puis  encerclé  par des forces nettement supérieures, a lutté pour empêcher l’adversaire de prendre place à l’intérieur de la localité. A été grièvement blessé au cours de ce combat et n’a pu être évacué qu’après dégagement des issues du village.

Derniers instants et mort du Capitaine MARTIN

Par le lieutenant de Saint TRIVIER, un de ses compagnons les plus proches qui fut sous ses ordres pendant la campagne.

En tant que militaire,, j’aimais chez lui, cette intelligence  et cette compréhension que beaucoup d’autres que moi  ont su apprécier.c’était un magnifique chef militaire, que l’on aimait servir, parce que on savait qu’il avait tout prévu et que sa solution était certainement la meilleure. Quand on allait au combat , on savait  que l’on était appuyé  et que, dans le cas de coup dur, il  ne nous laisserait pas tomber. Ceci vous donne beaucoup de cœur et de courage et vous permet d’aller à la bataille le cœur plus léger.

Voilà pour le militaire, mais c’est l’homme que j’ai pu connaître aussi puisqu’il venait tous les jours à la popote et que le soir nous parlions à cœur ouvert. C’est là que j’ai vu l’homme droit et honnête, foncièrement chrétien. C’était un Saint. Et puisque nous appartenons à la même religion, je puis vous assurer que Dieu et Saint Georges patron de l’Armée, ont du certainement accueillir le Capitaine Martin au paradis car s’ il n’ est pas allé tout droit au ciel, je pourrais désespérer  à jamais d’y entrer..…

….Le 27 juin matin j’étais avec mon poste, à 1 Km du poste de Commandement du Capitaine MARTIN. A 4 heures 30 du matin un de mes guetteurs vient m’avertir que l’on entendait un bruit anormal dans le ravin qui était devant nous. On n’y voyait pas à 10 mètres  car le jour commençait à peine à se lever et d’autre part les flancs du ravin couverts d’oliviers.

Je fais mettre tout le monde   aux postes d’alerte, et je laisse approcher l’ennemi. Quand j’ai vu 7 ou 8 australiens à 20 mètres de moi, je crie feu partout. Toutes les auto-mitrailleuses tirent à la fois L’ennemi surpris bat en retraite précipitamment. Nous continuons à tirer quelques temps.

Vers 5 h 30 je vois arriver le capitaine qui me demande ce que signifie toute cette fusillade . Je lui réponds que ce devait être sans doute quelque patrouille  ennemie qui venait voir si nous occupions toujours Chélim. J’ajoutais qu’il y avait certainement des Australiens touchés dans les oliviers. Il me dit alors de lui donner quelques Sénégalais que j’avais alors avec moi pour voir s’il ne restait aucun australien dans les oliviers et  en tout cas pour ramasser  les blessés et faire des prisonniers.

Je refusai  catégoriquement, déclarant que c’était imprudence folle de se risquer dans les arbres où on ne voyait rien sans être en nombre. D’autre part  j’avais à peine le nombre  d’hommes nécessaires pour tenir mon poste ce ‘était pas le moment de me dégarnir. Je lui proposais donc d ‘aller chercher du renfort après on verrait ce que l’on pourrait faire. A quoi il  me rendit très justement que si l’on allait chercher du renfort, les quelques australiens qui restaient auraient le temps de s’en aller et qu’il nous fallait absolument des prisonniers pour avoir un renseignement sur l’ennemi.

C’est donc complètement avec regret que je lui donnai la plus grosse partie de mes Sénégalais C’est à dire une dizaine d’Hommes.. Je lui recommandais de ne pas s’éloigner de moi , afin que je puisse l’aider avec mes auto-mitrailleuses. Il partit ainsi et bientôt je le vis disparaître dans les arbres.

Au même moment, l’attaque australienne se déclenchait et le capitaine a été touché un des premiers tandis que je tirais tant que  je pouvais pour le dégager.bientôt un Sénégalais venait me dire que le groupe parti dans les oliviers était décimé et que le capitaine était blessé, entre les mans des Australiens. Il était 6 heures 30; Bientôt j’étais complètement encerclé et ce n’est qu’à 8 heures que j’ai pu me dégager pour aller chercher du secours. Une contre attaque était montée et le capitaine est revenu entre nos mains. Moi-même étant blessé, J’ai revu le capitaine au poste de secours. Il m’a à peine reconnu mais  il m’a dit  » mon pauvre Saint Trivier, «  » j’ai bien peur de ne plus vous revoir » et il a ajouté « Je crois que nous avons fait tout notre possible »

Sa dernière parole était donc pour montrer sa satisfaction du devoir accompli jusqu’au bout. Il était environ 10 heures. On l’a emmené immédiatement à BEYROUTH où il est arrivé à 12 heures. C’est alors, dans le vestibule de la salle d’opération que le R. P. POIDEBARD aperçu le capitaine MARTIN sur son brancard au milieu des autres blessés arrivés avec lui. Il s’approcha de lui aussitôt et le prépara à la mort et le réconforta jusqu’à l’heure où il fut introduit dans la salle d’opération.

Le capitaine fût endormi, mais les docteurs constatèrent que la blessure était trop étendue et trop grave pour laisser le moindre espoir. Le capitaine passa de l’anesthésie dans le coma sans reprendre connaissance et rendit le dernier soupir.  (RP BOIDEPART Jésuite aumônier bénévole à l’hôpital).

CALABRE Yves Fernand Anne Alain

 

 

 

 

photo source résistance 60

tombe-calabre
Rénovation de la tombe par la municipalité de la Trinité sur Mer en 2016

Né le 30 décembre 1922 à Bourges.Fils de Marcel Calabre et Yvonne Jaugey, Yves Calabre était domicilié rue Jouallan à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord, Côtes-d’Armor) où il était Scout de France dans la 2e troupe.

  • Résistant dans l’Oise, cet étudiant portait le grade de lieutenant FTP dans la 14e Cie du détachement Grand- Ferré, adjoint du capitaine Charles Sackesteder. Il fut tué avec d’autres résistants lors d’un engagement contre les troupes allemandes le 29 août 1944 à Néry, commune qui abritait un maquis depuis avril 1944. Vers 16h30, Yves Calabre, Lucien Delval et Henri Durubt rencontrèrent une patrouille de soldats allemands dans la côte de Néry. Le sous-officier trouva un revolver sur Henri Durubt avec lequel il tua Yves Calabre, les autres militaires abattirent Lucien Delval et Henri Durubt grièvement blessé, roula dans le ravin, laissé pour mort. Les habitants récupérèrent les deux cadavres qu’ils transportèrent à la ferme Roulon puis les inhumèrent le lendemain au cimetière communal de Néry, commune libérée le 31 août.
Source https://maitron.fr/spip.php?article227887 :

MPLF le 09/08/1944.

Tombe n° 81  carré 3.

Information particulière

Sur la plaque commémorative de la 14e compagnie FTPF à Saint Néry, on peut lire honneur aux résistants ; Néry a abrité à partir d’avril 1944 un maquis, détachement de la 14e compagnie FTPF du grand ferré jusqu’à la libération le 31 août 1944. Le nom de Yves CALABRE apparait aussi sur le monument aux morts de Saint Brieuc, sur le monument commémoratif 39/45 de Saint Brieuc et sur les plaques commémoratives 39/45 de l’école Saint Charles de Saint Brieuc.

LE CHANTOUX Yves François Charles

Né le 29/07/1922 à Le Palais.

  • matelot électricien sur le sous marin « PROTEE », coulé le 19 décembre 1943 au large de Cassis, en Méditerranée. L’épave du sous marin a été retrouvée en 1995 gisant par 130 mètres de fond  Elle contient les corps des 74 membres d’équipage dont Yves Le CHANTOUX. Cette épave a été classée « Sépulture  » par la Marine Nationale.

MPLF le 19/12/1943.

Tombe n° 38   carré 6

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« LE PROTÉE »

Le , sous les ordres du capitaine de corvette Georges MILLE, il part en mission au large de Marseille et disparaît. Il n’est jamais rentrée de cette mission qui devait se terminer le 31 décembre. Il y avait 74 hommes d’équipage à bord dont 3 britanniques et le matelot Yves LE CHANTOUX. La marine française a longtemps cru que la perte du Protée était la conséquence d’un combat en surface avec des navires allemands. Mais une plongée effectuée à bord en 1995 a permis de localiser l’épave au large de Cassis à 130 m de profondeur et a confirmé la thèse avancée depuis les années 1950 de l’explosion d’une mine, aucun combat avec un sous-marin allié ne figurant dans les archives allemandes. Le sous-marin gît par 125m de fond sur le plateau des Blauquières à 20 miles au sud de Cassis. L’épave est à plat légèrement inclinée sur bâbord, aucun dommage n’apparait sur la coque. L’épave contient les corps des 74 membres d’équipage et a été déclarée « sépulture maritime par  la marine nationale »

Un 75e membre d’équipage est venu rejoindre depuis peu, ses compagnons. Il s’agit de Raymond MORALES, miraculeusement épargné de cette patrouille par une permission exceptionnelle obtenue grâce à son chef de service.

Grâce à l’équipe de l’association « deep sea Odyssey  « les vœux de Raymond MORALES  de reposer auprès de ses compagnons a pu se réaliser. Les cendres ont été répandues par 125 mètres de fond, dans le kiosque du Sous marin -Protée.

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